7 janvier 2021 - UNE SEMAINE EN BEAUJOLAIS VERT PARUE PAGE 34 DANS LE JOURNAL REGIONAL LE PAYS ROANNAIS
AVANT PROPOS pour vous mettre dans le contexte...
« Le Label bas-carbone garantit la qualité des projets, avec un haut niveau d’exigence économique, sociale et environnementale qui aidera les forestiers à trouver des financeurs. C’est pourquoi le Centre national de la propriété forestière s’est mobilisé pour ce label. »
Source: Olivier Picard, Centre national de la propriété forestière (CNPF)
18 décembre 2020 Source : Ministère de la transition écologique: RAPPEL SUCCINCT DU PROCESS AYANT APPAREMMENT REUSSI A VALIDER UN PROJET BAS CARBONE dont l’une des lumineuses idées semble avoir permis de piquer des sous à certains et les faire revenir dans leurs poches ...
Créé par le ministère de la Transition écologique et solidaire avec la collaboration de nombreux partenaires, le Label bas-carbone a pour objectif de contribuer à l’atteinte des objectifs climatiques de la France.
Accompagner la transition écologique à l’échelon territorial
Le Label bas-carbone met en place un cadre innovant et transparent offrant des perspectives de financement à des projets locaux de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Il permet ainsi d’accompagner la transition écologique à l’échelon territorial, en récompensant les comportements allant au-delà des pratiques usuelles.
Des collectivités, des entreprises, et même des citoyens, sont prêts à rémunérer des actions bénéfiques pour le climat sur une base volontaire, par exemple pour compenser leurs émissions résiduelles. Pour s’engager, ces financeurs potentiels souhaitent que la qualité et l’intégrité environnementale des projets soient assurées. Le Label bas-carbone leur offre ces garanties et permet ainsi de diriger des financements vers des projets vertueux pour le climat et l’environnement. Le fonctionnement du Label bas-carbone
Le Label bas-carbone vise les projets permettant de réduire les émissions de gaz à effet de serre par rapport à la situation de référence. Ces projets doivent être additionnels, c’est-à-dire aller au-delà de la réglementation et de la pratique courante. Ils peuvent recouvrir des changements de pratiques, l’introduction de nouvelles technologies, des changements de systèmes, de comportements ou toute autre action permettant d’accélérer la transition bas-carbone.
Pour bénéficier du Label bas-carbone, les projets doivent se référer à une méthode approuvée au préalable par le ministère de la Transition écologique et solidaire. Les méthodes précisent pour un type de projets donné comment le scénario de référence doit être déterminé et comment les réductions d'émissions associées aux projets sont calculées.
Les réductions d’émissions permises par les projets bénéficiant du Label bas-carbone et correspondant à une amélioration de la situation actuelle et tendancielle définie par le scénario de référence sont ensuite reconnues à la suite d’une vérification par un tiers indépendant et de leur financement.
Une fois reconnues, ces réductions d'émissions sont inscrites sur le registre dédié : pour chaque réduction d’émission il est ainsi possible de connaitre le porteur de projet ou le mandataire ainsi que le(s) financeur(s) du projet. Ces réductions d’émissions ne sont ni transférables, ni échangeables.
Un guide pédagogique reprenant en détail le fonctionnement du Label bas-carbone est disponible ci-dessous.
Forêt
Trois méthodes relatives aux projets volontaires de conversion de taillis en futaie sur souches (balivage), de boisement et de reconstitution de peuplements forestiers dégradés (reboisement) développées par le Centre national de la propriété forestière (CNPF) ont été approuvées dans le cadre du Label bas-carbone. Ces méthodes indiquent les étapes à suivre pour la réalisation de projets visant à développer les différents leviers d’atténuation du changement climatique dans la filière forêt-bois.
Des deuxièmes versions de ces trois méthodes forestières ont été approuvées le 8 octobre 2020.
• Présentation des méthodes balivage, boisement et reboisement (PDF - 569.02 Ko)
• Méthode boisement (PDF - 1.89 Mo)
• Méthode reconstitution de forêts dégradées (PDF - 2.23 Mo)
• Méthode balivage (PDF - 2.28 Mo)
07 01 2021 - LA PHRASE CAUTION ou simplement copiée collée par le rédacteur du journal LE PAYS ROANNAIS cité en titre?
’Les forêts françaises et l’utilisation du matériau bois en substitution aux matériaux et énergies fossiles captent 20% des émissions de CO² du pays
’Bertrand Servois, président de l’UCFF’? C’est un pro on peut lui faire confiance ...
LE PERE JANVIER 2021 a trouvé une formule pour promouvoir cette riche idée.
1001PACT WENOW Société : 879164432 / Source Société.com bien servi par son compère ONF
Société par actions simplifiée en activité seulement depuis 1 an se déclare spécialisée dans de multiples secteurs d'activités de …gestion de fonds principalement orienté dans ... (à mon sens certains miroirs aux alouettes)
Son président via un groupe de Business Angels … financé par différents investisseurs (exemple celui ci dessous) probablement épaulé par des groupes écologistes internationaux...
Source ci dessous : Le nouvel Econoniste – Phitrust (C.A environ 650 000 €) est à la pointe de l'engagement actionnarial et de la prise en compte des sujets ESG dans les sociétés du CAC 40
Un interview instructif ...
“L’actionnaire doit accompagner l’entreprise dans la prise en compte des sujets ESG – environnementaux, sociaux et de gouvernance. (…) Ce n’est pas une démarche éthique ou morale, mais une démarche d’investisseur qui cherche à créer de la valeur sur la durée.” déclarre son président qui ne se lasse pas de promouvoir “l’engagement actionnarial” qui est sans doute à ses yeux l’avenir d’un capitalisme résilient.
Une formule qu’il met en œuvre depuis 15 ans à la présidence de la Sicav Phitrust, dédiée à l’investissement social responsable et aux critères ESG. “Nous avons compris très vite que pour faire avancer les sociétés sur ces thématiques, il fallait être non pas conseiller, mais actionnaire”, explique-t-il. Même minoritaire, Phitrust, grâce à sa capacité d’entraînement d’autres actionnaires et de dialogue avec les dirigeants des entreprises, a déjà démontré plusieurs fois qu’il était en mesure de faire bouger significativement les lignes. La plus grande fierté à ce jour de l’interviewé est sans doute d’avoir réussi à faire inscrire dans les statuts de Total ses responsabilités sociales et environnementales. Un nouveau visage “d’actionnaire actif” donc, conscient que la réussite d’une entreprise se joue sur la durée. Et qui irait même jusqu’à accepter, le cas échéant, de ne pas recevoir de dividendes “pendant deux ou trois ans” pour la bonne cause du développement durable de la société.(...)
Point de vue de grindesel.forumactif.fr
Avec la bénédiction de l’ONU (!?) et du Suisse Bertrand PICCARD le père Janvier 2021 et leur premier client a – je l’espère - rapidement interprété à sa façon les textes validés par notre gouvernement durant l’été 2020. 60 autres clients seraient en liste d’attente! Le COVID ne les a pas découragé.
Que je sache les propriétaires forestiers n’ont pas attendu ce texte et ces opportunistes financiers pour planter et stocker du CO² depuis la nuit des temps le tout avec mesure , précaution et compétences ce qui ne semble pas être le cas de l’empressement avec lequel nos législateurs légifèrent maintenant pour le bonheur d’inévitables entrepreneurs pouvant craindre que le filon des cadeaux s’épuise voir même ne soit plus approvisionné ?
Aux infos de 13 h nous avons appris que Madrid (657 m mais tout de même au sud) croulait sous la neige qu’elle n’avait plus vue depuis plus de 50 ans! Les inondations seront peut être d’actualité en 2021?
Ce fameux Père Janvier a donc fait cadeau de ses compétences en marketing financier et a investi dans la forêt de la Pyramide en vallée d’Azergues, a quelques encablures de la coopérative forestière COFORET, pour expérimenter les talents prévisionnels de l’ONF, incapable de prévoir l’arrivée de la Chalarose du frêne sur notre territoire en 2008 malgré des signes avant coureur à sa portée depuis 16 ans (Pologne 1992) mais désormais visionnaire à 50 ans. Il faut croire que sa direction actuelle ...a besoin de nettoyer son image et ses résultats financiers!
Les médias nationales et les régions toujours à l’affut de publicité et de subventions pour garder leurs lecteurs et meubler leurs pages ou voir ré élire leur président relaient l’information en applaudissant les compétences d’une startups d’un an se disant écologique dans des termes éminemment choisis, d’inspiration internationale, proposant de dédouaner à bon compte les entreprises qui polluent notre environnement en leur permettant de financer des opérations de blanchiment d’image en finançant le stockage de CO² dans des plantations présentées comme innovantes (? mot parfois galvaudé parmi tant d’autres) pour négocier leurs contributions (publicitaires) via des âmes généreuses motivées par une si noble entreprise... oboles qu’elles déduiront en déduction fiscale, à charge d’un état ... en état parait il endetté, en charge de contribuables, qui, pour certains, se retrouveront ruinés par les couts engendrés par la gestion du COVID 19! Suffira-t-il d’imaginer un dispositif similaire?
Depuis ses bureaux 118 AV JEAN JAURES - 75019 PARIS WeNow démontre que les propriétaires forestiers sont tous des enfants de Charlie Chaplin et n’ont pas compris que leurs patrimoines forestiers valent de l’or sans avoir besoin de se fatiguer ni l’esprit ni les bras. Démonstration supplémentaire d’une lutte des classes inégale. Des pots de fer – qui retourneront eux aussi à la terre contre des pots de terre … Une histoire parait il sans fin, mais pas sans faim pour certains...
Il faut en effet faire partie de ce que l’on appelle la filière Business Angel pour arriver à convaincre une entreprise nationale datant de Colbert (L’ONF) et certains hommes politiques que planter
6300 arbres au prix de 15 € le plant sur 5,3 ha représente un budget de 17 924 € l’hectare pour 95 000 € les 5,3 ha soit plus de 1583 m³ de Douglas de 40/ 50 ou 60 ans
et valoriserait ainsi les biens des forestiers de bon sens ayant délégué leurs intérêts de filière à des confrères pour la plupart Parisiens, inquiets de peut être ne plus pouvoir aller chasser en groupe homogène dans leurs propriétés de peur que le réchauffement climatique et le CO² ne défeuille trop leur patrimoine et avaient concoctés cette miraculeuse usine à gaz ! Un comble pour des producteur de bois séquestrant des tonnes de CO². En l’occurrence certains disent 727 tonnes sur 30 ans d’autres 808 ...
Forêts de France informe pourtant qu’en 2020 l’ha forestier s’est négocié – terre et bois – entre 670 et 12 730 € suivant les qualités du bien! Nos dirigeants sinon ceux à qui ils font confiance, ne doivent pas être au courant ...
Sachant qu’un patrimoine forestier bien géré durant ces 20 dernières années a rapporté entre 3 et 6 % voir plus suivant ’l’art de l’acheteur’ je trouve cette opération ’Forêt de la Pyramide’ personnellement pour le moins indécente.
Je suis curieux d’en connaître plus à fond sur ce qui a pu justifier une telle déviance professionnelle qui ne peut qu’engendrer une contre publicité en terme de spéculation sur les transactions de biens forestiers avec des gens peut être naïfs mais heureusement (?) fortunés face à un public ne sachant que survivre de leur seul talent et bon sens paysan et ne comptant pas toujours les petits pois!
Le gaspillage des fonds publiques va-t-il se perpétuer à l’infini ? Ce dossier pourrait être la goutte qui fait déborder le contenant…Verre à goutte ou bock à bière! Dans tous les cas une goutte suffit pour les faire déborder ...
Je fais partie de ces gens, excédés et désabusés par la légèreté avec laquelle sont parfois gérés les biens appartenant au peuple ou je suis né et me trouve pourtant bien! Ce doit être l’âge et le confinement?
Non merci la tête et les bras fonctionnent encore ensemble malgré quelques fatigues provoquées par mon entraînement de retraité à mes vacances éternelles.
GRINDESEL le 9 Janvier 2021
POUR INFO de dernière minute !
Accessible sur les plateformes Android / IOS et disponible en six langues, l’application gratuite Irokko permet de calculer
facilement ses émissions carbones et de les compenser en plantant des arbres dans l’une des six régions françaises
hébergeant des projets de reboisement en partenariat avec les coopératives forestières locales de l’union GCF.
Chaque arbre planté en France est au prix unique de 5 euros comprenant le coût du plant, sa mise en terre, son entretien par
des professionnels forestiers ainsi que la gestion et le développement de la plateforme. Lorsque la plantation est effectuée, l’utilisateur reçoit la photo et la géolocalisation de son ou ses arbres. Cette géolocalisation permet d’assurer un suivi des arbres un an et trois ans après le reboisement et de partager son expérience avec la communauté Irokko et ses proches.
OU EST L'ERREUR ? EXISTE-T-IL UN SERVICE GOLD DANS LA CAPTATION DU CO²?