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| SCIC BOIS TRANSFORMES DU PILAT ça sentirait le sapin... | |
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GRINDESEL Admin
Nombre de messages : 856 Localisation : Commelle Vernay Date d'inscription : 21/03/2007
| Sujet: SCIC BOIS TRANSFORMES DU PILAT ça sentirait le sapin... Mar 4 Oct - 22:11 | |
| AVERTISSEMENT
Ce projet a été finalement abandonné . Il n'en reste pas moins qu'il a failli servir à nouveau d'exemple aux amateurs de pêche aux subventions
GRINDESEL
LES BOIS TRANSFORMES DU PILAT (Atelier de séchage et rabotage inspiré de feu Le POLE BOIS DU HAUT FOREZ récemment liquidé après 18 mois d'exercice)...
LES BOIS DU TRIEVES ont subi la même mésaventure fin 2014 ...après avoir tenu plus longtemps grâce à quelques rallonges de subventions ...
Nouveau concept d'entreprise SOCIALE et SOLIDAIRE et du partage des déficits !
Information Le PROGRES du Mardi 4 Octobre 2011:
Suite arrêt des entreprises SIEMENS ( St Chamond) Thyssens (L'Horme) et Akers (Fraisse) un investissement comparable au montant prévu pour reclasser leurs 700 emplois sur le carreau contre la création de combien d'emplois à MARLHES 42 ?!
Reflexions personnelles: Sous le prétexte de promouvoir des modes de production durables et autres fumeux programmes dont les titres ont nécessité de longues études préalables et forces réunions, les collectivités territoriales, les cabinets conseils, les organisations de promotions professionnelles et politiciens de tous bords se considèrent ensuite mandatées par leurs mandants, contribuables directs ou indirects que nous sommes tous (TVA/ Essence…), concernés ou pas, pour suggérer aux entreprises les réalisations qu’elles n’osent pas elles mêmes mettre en œuvre.
C’est la négation de l’essence même de l’entrepreneuriat !
En pré finançant des projets soit disant ‘structurant’ et en ouvrant largement le robinet des subventions‘ nous assistons, entre politiques et entrepreneurs, au développement d’une nouvelle cour!
D’un coté les coupeurs de rubans s’octroyant la paternité des idées, arroseurs par fonds irresponsables, de l’autre coté des entreprises très heureuses de pouvoir réaliser des investissements qu’elles se disent, évidemment ou forcément ( ?), ‘incapables de pouvoir financer en comptant sur la seule rentabilité de leurs entreprises… ! ‘ .
Pourquoi refuseraient-elles des cadeaux puisque ‘tout le monde est invité à croire au père Noël’?!
Les bonnes gens contribuables ne semblent pas se poser les questions clefs : avec un peu d’audace et de réalisme, qualités de base attendues d’un chef d’entreprise, pourquoi les entreprises concernées ne parviendraient-elles pas à rentabiliser elles-mêmes leurs projets et créer des emplois (fiables…) ?
La fierté d’en avoir proposé : C’est ce que j’ai ressenti lorsque j’ai créé et développé mon entreprise à l’age de 54 ans après 37 de salariat. 12 emplois créés en démarrant de zéro.
Entre temps j’ai revendu 646 scieries Françaises ne trouvant pas repreneur. Pour de multiples raisons propres à l’évolution industrielle et aux modes de vies beaucoup de fils de scieurs ont renoncés ‘à perpétuer les traditions familiales’. Certains d'entre eux se sont ruinées à vouloir les maintenir…D’autres n’avaient plus, tout simplement, les compétences pour suivre le progrès !
Sur 6 000 entreprises de scierie en 1967 (et plus de 10 000 après guerre) il n’en reste qu'environ 1450 en activité fin 2014. 500 sont certainement à vendre! Nous sommes face à un constat commun pour toutes les activités dites artisanales Françaises.
Le 25 juillet 2011 l’administrateur (anonyme) du site pilat2025.org/?p=997 indique qu’il resterait 7 scieries en activité dans le Pilat. Je crains qu’il soit mal informé.
Combien d’entre elles cherchent un repreneur ? Réunies, quel poids représentent-elles face à ce que sont devenues leurs collègues de Rhône Alpes s’approvisionnant elles aussi dans le massif du Pilat et ailleurs?
De quelles scieries parle-t-on ? En augmentant, et non en réduisant leur handicap vis-à-vis de leurs confrères déjà lourdement équipés qu’espèrent les cinq coopérateurs, dont 3 scieries que je connais bien, d’un projet qui va, entre autres inconvénients, ‘promener les sciages’, grever les coûts et mécontenter leurs clients par l’absence de maîtrise d’un planning de livraison fiable, sans pour autant leur apporter des économies d’échelle?!
Ce concept relativement récent d’interventions dans la marche des affaires dites ‘privées’ a engendré d’innombrables fiascos.
Chaque homme politique veut ‘sauver ou développer les emplois et le savoir faire local’ ! Billevesi que tout cela ! Nous ne sommes plus du temps de la reconstruction d’après 1945…ou les scieries poussaient comme des poireaux dans toutes les vallées Françaises !
Projet comparable totalement rétro le scandale du récent clash financier du POLE BOIS DU HAUT FOREZ a été proprement étouffé !
De droite comme de gauche tous les grands noms politiques régionaux s’étaient empressés d’encenser ce projet que j’avais annoncé aller dans le mur avant son inauguration ! GOGGLE en a conservé les traces !
Qui, parmi les intervenants dithyrambiques de l’époque, sera assez honnête pour informer les contribuables électeurs (et les sociétaires !) du coût final de l’opération ?
Sur ce point, silence total des médias, elles qui avaient largement rendu compte de ce projet qui se voulait si exemplaire …
Ses concepteurs et dirigeants n’ont eu de cesse de s’obstiner à démontrer sa validité tout au long de ses 18 mois d’existence et à le présenter comme un modèle du genre lors d’innombrables réceptions, colloques et débats à la gloire des SCIC !
226 sociétaires avaient contribués au capital (je n’en fait pas partie)! Avec l’espoir insensé de vendre plus cher leurs bois ils ont perdu leur apport !
La communauté de commune locale est parait-il passée de ce fait sous tutelle financière…et a tenté de brader ce qu’elle pouvait d’un mirage ou la technologie se mariait mal avec l’amateurisme.
Un repreneur privé sauvera le navire et créera des emplois qui en feront perdre par ailleurs…'à des petits', en contribuant à la modernisation d'une filière qui en a grand besoin: LE BOIS ENERGIE.
Cycle normal de modernisation constaté dans d'autres métiers dont celui des scieries.
Le (nouveau) président de la forêt ligérienne, sur un courrier qu’il a adressé à tous les propriétaires forestiers de la Loire sinon de la région (je l’ai reçu ce 16 Septembre 2011), s’inspire des méthodes de son prédécesseur alors que celui-ci a brillamment dirigé la faillite du POLE BOIS DU HAUT FOREZ. Il fait lui aussi appel à sociétaires pour la nouvelle SCIC SA LBTP : LES BOIS TRANSFORMES DU PILAT !
Lors d’une très belle cérémonie laïque et républicaine à Montbrison 42 minimisant bien entendu sa responsabilité sur le sujet , quitus a été donné à l’ancien président de sa brillante gestion . Il a été vivement remercié par ses pairs pour sa grande compétence et disponibilité et nommé …vice-président de la forêt ligérienne ! Petit détail : Ce serait lui qui aurait proposé le nom de son remplaçant…Celui-ci sera-t-il un meilleur manageur ?
Il démarre mal ! Comme son prédécesseur, pour valider son dossier par la caution que leur apportera un certain nombre de sociétaires de la famille forestière (coopératives / professionnels du bois ( ?) propriétaires forestiers, syndicats) il utilise les ficelles gouvernementales actuelles.
Réductions d’impôts ISF (50%) et loi TEPA (22,5%) permettant de réduire l’apport financier des heureux et nouveaux sociétaires d’une nouvelle SCIC LIGERIENNE …ne pouvant leur garantir la distribution de futurs dividendes ! C’est encore la loi régissant les entreprises en attendant leur nationalisation!
En attendant, ces réductions d’impôts ne viendront pas, évidemment, abonder les caisses vides de l’état dont nous sommes tous actionnaires .
En attendant ces réductions d’impôts valideront et abonderont l’important pourcentage d’aides diverses annoncées pour garantir la naissance et l’inauguration du projet.
Après …vaille que pourra y compris pour nos futurs impôts locaux / régionaux et nationaux qui ont de plus en plus vocation à boucher les trous!
Hello Mr PINAY, proche voisin malheureusement en repos éternel : début Septembre 2011, à 70 ans passés à bosser depuis 1955 dans les activités forestières et scieries j’ai décidé de prendre moi aussi ma retraite.
Que pensez-vous de tout cela? Je radote ?
Comme le dit si bien Monsieur l’administrateur anonyme intervenu dans le débat PILAT 2025 , je cite:
‘Les expériences, heureuses et malheureuses, d’autres sites collectifs régionaux ont fortement contribué à la définition technique du projet et à l’organisation de l’exploitation du site. Ce projet se distingue par les choix suivants : outils de séchage adaptés, unité de petite envergure avec possibilités d’évolution, choix énergétiques, gestion de la plateforme par les professionnels et conseil de surveillance impliquant tous les partenaires.
C’est ainsi que la SCIC SA LES BOIS TRANSFORMES DU PILAT deviendra un nouveau centre d’expérimentation technique, social, environnemental, durable…'
Bel exemple de bla bla habituel !
Pour conclure : LE CONCEPT de BASE du dossier ci-dessus a démarré sur le constat administratif suivant :
‘Loin de brasser seulement des principes généraux et généreux (réduire l’empreinte écologique des activités sur le territoire, favoriser la création de nouveaux emplois…), le groupe projet s’est efforcé d’imaginer leurs applications sur le territoire. Parmi les propositions avancées par les participants :
- la création d’un pôle bois à l’instar de celui mis en place à Noirétable dans le Haut-Forez, dont les installations de séchage et de rabotage permettent aux entreprises de transformation locales et aux artisans menuisiers ou charpentiers de disposer de bois de qualité - l’expérimentation d’une technique par câble pour l’exploitation forestière dans le cas de terrains en pente.
MA QUESTION Les participants à ce type de décisions ont-ils tant de temps à perdre pour initier des ‘expérimentations’ (locales) déjà réalisées en la matière depuis de nombreuses années en Europe …et en France?! Que de temps perdu à refaire le monde !
MON SOUHAIT Que les fonds accordés à financer les salaires et frais consacrés à ce genre de débats sans fin et associant compétences …incompétences et pressions de toutes natures, soient désormais consacrés à mettre en place une base de données préalable à toutes décisions sur toutes les expérimentations du genre concerné, déjà en France, car chaque région a occupé du monde ou en occupe actuellement sur ce type d’initiatives appelées ‘recherches de projets’ !
C’est ainsi que notre administration est progressivement devenue distributeur de subventions et a démobilisé les ‘entrepreneurs’ de leur saine gestion…
GRINDESEL retraité de la filière bois - le 4 Octobre 2011 - Dossier validé le 05 01 2015
Dernière édition par GRINDESEL le Mar 3 Fév - 18:16, édité 9 fois | |
| | | GRINDESEL Admin
Nombre de messages : 856 Localisation : Commelle Vernay Date d'inscription : 21/03/2007
| Sujet: pilat2025.org/?p=997: Feu le pôle bois du haut Forez! Mar 4 Oct - 22:18 | |
| Le 25 juillet 2011 l’administrateur du site POLE BOIS DU PILAT 2025 a écrit ‘Le maintien de ces entreprises et emplois passe par la valorisation des bois d’œuvre.’ Réponse : Sous entendu les scieries locales produisaient, jusqu’à maintenant, des sciages ne correspondant pas à la demande ?! ‘La demande locale en bois d’œuvre du Pilat est encore faible, pour des raisons d’inadaptation de la production aux besoins du marché’ Réponse : Qu’elle vienne du Pilat ou ailleurs la demande est fonction de différents paramètres qui n’ont rien à voir avec la ressource en bois du Pilat. Ces bois ont toujours trouvé et trouveront toujours preneur en France ou à l’étranger. Ils subissent les mêmes lois de marché que les autres matières premières… ‘La création d’une unité de séchage collective est un gage du développement de la qualité du bois produit’. Réponse : Le séchage est effectivement un gage du développement de la qualité du bois produit’. Cette qualité est simplement devenue, au fil du temps, une exigence de base des entreprises de scieries voulant ‘rester dans la course’. Sécher n’est donc pas une opération innovante mais commercialement obligatoire… depuis des dizaines d’années pour les bois résineux importés. ‘La création d’une unité de séchage collective est un gage du développement …de son exploitation sur site et de ses débouchés locaux. Réponse : Cette remarque confirme bien ‘son exploitation sur site’… J’ajouterai ‘de production’ et non après avoir promené les sciages à une unité de séchage externe à la scierie de production !‘La création d’une unité de séchage collective est un gage … des débouchés locaux. Réponse : Tout à fait d’accord sous réserve que la qualité du produit offert hors séchage, corresponde aux attentes des clients. ‘Les expériences, heureuses et malheureuses, d’autres sites collectifs régionaux ont fortement contribué à la définition technique du projet et à l’organisation de l’exploitation du site’ Réponse : On ose l’espérer ! Il n’empêche que cette nouvelle réalisation n’aura rien de révolutionnaire ! Plusieurs scieries Rhône Alpes – Auvergne sont largement mieux équipées depuis plusieurs années…et sur leurs sites.‘Ce projet se distingue par les choix suivants : outils de séchage adaptés, unité de petite envergure avec possibilités d’évolution, choix énergétiques, gestion de la plateforme par les professionnels et conseil de surveillance impliquant tous les partenaires’. Réponses - Outils de séchage adaptés : …à un certain type de séchage et de sections. - Unité de petite envergure avec possibilités d’évolution … ce qui sera plus handicapant que valorisant et ne garantit en rien une possibilité d’évolution. - Choix énergétiques … s’inscrivant dans les critères d’obtention de subventions. La difficulté sera d’adapter la chaudière ‘aux futures évolution du marché’. Il y a une seule solution : sera-t-elle retenue ? - Gestion de la plateforme par les professionnels …rien d’exceptionnel sur ce point ?! - ‘Et conseil de surveillance impliquant tous les partenaires ‘… même réponse que ci-dessus sauf qu’il faudra bien départager les éventuelles frictions de gouvernance… Le Parc du Pilat et Inter Forêt-Bois 42 amènent leur appui technique aux professionnels impliqués dans ce projet. La Communauté de Communes des Monts du Pilat s’y est associée du fait de l’implantation sur son territoire et d’un enjeu fort pour l’économie locale dont le développement relève de sa compétence. Elle réalise le portage foncier et immobilier du projet contre un loyer, en conformité avec les règles communautaires de la concurrence. Réponse : J’ai déjà donné mon avis sur ce point ; Je compléterai simplement en arguant que le développement de chaque entreprise concernées, sur son site, me semble plus garant de création d’emplois et de réussite à long terme que le rafistolage d’un projet politico économique. - 2 600 000 Euros d’investissement (plus les surprises...) avec combien en final de subventions ( ?) divisés par 5 cela ferait 520 000 Euros pour chaque entreprise ! - Avec cette somme chacun serait certainement capable de faire globalement mieux dans sa propre entreprise en valorisant les acquis et en dynamisant et sécurisant leurs emplois ! A défaut ce serait la démonstration de leur incompétence…Ceci n’est que mon point de vue. GRINDESEL
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| | | GRINDESEL Admin
Nombre de messages : 856 Localisation : Commelle Vernay Date d'inscription : 21/03/2007
| Sujet: Circulez y'a rien à voir ! Ven 4 Nov - 18:52 | |
| L'avantage du montage d'un tel dossier sous couvert d'une SCIC consiste à pouvoir tester à bon compte (aux frais du contribuable) une 'nouvelle technologie' ou un concept que l'on n'utilise pas encore chez certains 'sociétaires'. Une fois ce service lancé et testé ...ils auront plus de sécurité à s'équiper sur leurs propres sites. Dans le contexte économique actuel c'est plus sécurisant...A quels coûts ...pour toutes les parties? Rendez-vous dans deux trois ans?
Novembre 2011
Dernière édition par GRINDESEL le Lun 2 Avr - 21:53, édité 2 fois | |
| | | GRINDESEL Admin
Nombre de messages : 856 Localisation : Commelle Vernay Date d'inscription : 21/03/2007
| Sujet: Une info du site www.foretpriveefrancaise.com... Lun 14 Nov - 23:30 | |
| Loire : un nouveau Pôle bois dans un an 25/10/2011 - Rhône-Alpes
Après 6 mois d'observation, le tribunal de commerce de St Etienne a prononcé la liquidation judiciaire de la société Pôle bois du Haut-Forez, à Noirétable. Mais le département lance, à Marlhes, une nouvelle société coopérative d'intérêt collectif (SCIC) : « Les bois transformés du Pilat ».
Ce projet porté par la communauté de communes des Monts du Pilat devrait voir le jour fin 2012. Il bénéficiera des subventions des collectivités (Etat, conseil régional, conseil général, communauté d'agglomération St Etienne métropole), de l'emprunt de la commune de Marlhes et l'apport de sociétaires. L'objectif de ce nouveau Pôle est de sécher 4 000 m3 de bois par an. Il n'utilisera que des bois locaux, essentiellement du sapin qui sera séché, scié, calibré et normalisé.
Ce projet est soutenu pas l'interprofession de la filière forêt-bois, Inter Forêt-bois 42, le Groupement des 550 sylviculteurs du Pilat, des scieurs, un charpentier et une entreprise spécialisée dans le séchage
Note de GRINDESEL : Les 550 sylviculteurs du Pilat seraient donc prêts à recommencer l'expérience désastreuse de leurs 226 collègues du Pôle Bois de Noirétable? Je croyais que les SCIC étaient réservées à la création d'emplois 'sociaux' autrement dit à la création de coopératives auto gérées et à trous éventuels comblés par les impôts de ceux qui peuvent encore en payer... | |
| | | GRINDESEL Admin
Nombre de messages : 856 Localisation : Commelle Vernay Date d'inscription : 21/03/2007
| Sujet: 52,6 % DE SUBVENTIONS! Le père Noël est généreux ... Jeu 1 Déc - 20:54 | |
| INFORMATION PARUE DANS LE BOIS INTERNATIONAL
Un nouveau pôle bois dans la Loire Alors que le Pôle bois du Haut-Forez a Noiretable vient d être place en liquidation jud ciaire par le tribunal de commerce de Saint Etienne* la Loire se dote d une nouvelle société coopérative d intérêt collectif Installe a Marlhes ce projet porte par la communauté de communes des monts du Pilât présidée par Jean Gilbert a été baptise les Bois transformes du Pilât II devrait voir le jour au plus tard a la fin de I année 2012 sur une extension de la zone d activité du Bourg et représente(rait) un investissement de 2 ,3 millions d euros Sa labelhsation par la Datar devrait lui permettre d obtenir une subvention de I Etat a hauteur de 33°/o Les subventions publiques pour financer ce projet devraient atteindre au total 52, 6% avec les aides accordées par le conseil régional Rhône Alpes le conseil général de la Loire et la communauté d agglomération Saint Etienne Métropole Le reste du financement sera assure par un emprunt de 108 millions d euros contracte par la commune de Marlhes Les 21 sociétaires de la SCIC prévoient d investir 300 000 euros dans cet outil de séchage sciage calibrage et normalisation des bois locaux essentiellement du sapin qui couvre 80°/o de la surface du massif du Pilât Lobjectif est le séchage de 4 000 m3 par an Ce projet soutenu par Inter foret bois 42 I'interprofession de la filière foret bois dans la Loire associera le groupement des 550 sylviculteurs du Pilât les scieries Chorain de Marlhes Montmartin de la Talaudiere et Vray de Samt-Chamond le charpentier Martignat de Firminy et Cogenair une entreprise spécialisée dans le séchage des bois et implantée a Momstrol sur Loire (Haute Loire) 'Lire par ailleurs Loire liquidation judiciaire pour le Pole bois du Haut-Forez dans Le Bois International n° 77 du 7 mai 2011
Jeudi 1er Décembre 2011
Dernière édition par GRINDESEL le Lun 2 Avr - 21:57, édité 2 fois | |
| | | GRINDESEL Admin
Nombre de messages : 856 Localisation : Commelle Vernay Date d'inscription : 21/03/2007
| Sujet: Pôle bois du Pilat. Ça sent(irait) le sapin! ( ?) Lun 2 Avr - 13:14 | |
| Citation du JDE : Le Journal des Entreprises du 42 (Loire) du 2 Mars 2012.
Pôle bois du Pilat. Ça sent le sapin! La plateforme de séchage, portée par la communauté de communes des Monts du Pilat et la SCIC Les Bois Transformés du Pilat, pourrait bien ne pas voir le jour. Donner naissance et faire vivre un pôle bois dans la Loire apparaît décidément bien difficile! Après la liquidation judiciaire du Pôle bois du Haut Forez, le 13 avril 2011, c'est désormais le projet porté par la communauté de communes des Monts du Pilat qui semble menacé. Baptisé Les Bois Transformés du Pilat, ce projet de plateforme de séchage et rabotage de sapins, qui devait associer initialement les 550 sylviculteurs du Pilat, les scieries Chorain à Marlhes, Montmartin à La Talaudière et Vray à Saint-Chamond, le charpentier Martigniat à Firminy et le spécialiste du séchage de bois Cogenair à Monistrole-sur-Loire, pourrait finalement ne pas voir le jour.
Une facture revue à la hausse
«Nous sommes aujourd'hui en proie à de nombreuses incertitudes à tous les niveaux. Je ne peux pas vous en dire plus pour l'instant, mais le projet n'est pas loin d'être remis en cause», confirme Jean-François Chorain, président du directoire de la société coopérative d'intérêt collectif (SCIC) Les Bois Transformés du Pilat. Parmi ces incertitudes, on trouve la question du terrain. Aux dernières nouvelles, la communauté de communes des Monts du Pilat - qui n'a pas souhaité s'exprimer sur ce dossier - n'avait toujours pas finalisé l'acquisition du terrain nécessaire à l'extension de la zone d'activité du Bourg de Marlhes. Terrain censé accueillir la future plateforme de séchage et rabotage. Autres difficultés et non des moindres, les différentes études préalables et notamment celles relatives à la Loi sur l'eau auraient fait apparaître des besoins d'aménagement du dit terrain, qui n'avaient pas été initialement budgétés. «Ces aménagements sont chers et pourraient effectivement alourdir la facture et mettre en péril l'économie même du projet. Mais cette remise en question est plutôt bon signe. Nous avons à faire à des industriels qui ne veulent pas faire n'importe quoi. Ils cherchent des solutions pour réduire cette facture et faire passer le budget», commente Jean-Paul Martel, directeur d'Inter Forêt-Bois 42, qui soutient le projet.
En effet, si le budget d'investissement, estimé à l'origine à 2,52millions d'euros, venait à exploser, «c'est la rentabilité même du projet qui serait remise à cause», explique Jean-Paul Martel.
Une question de rentabilité
«Les industriels sont effectivement inquiets. Avec la crise qui se fait sentir chez les constructeurs de maison en bois, ils se demandent si c'est le bon moment, si l'outil sera rentable», confirme Maurice Bonnand, vice-président de Saint-Étienne Métropole en charge de l'économie agricole et agroalimentaire. Et d'ajouter: «Monsieur Chorain est sans doute un peu trop pessimiste. Ce que je peux vous dire, c'est que le projet tient la route, sous réserve qu'au bout de trois ans, on vende 3 à 4.000 m³ de bois séchés. C'est largement réalisable. D'autant que la communauté européenne oblige désormais à vendre du bois séché».
Optimisme ou confiance aveugle, Saint-Étienne Métropole a d'ores et déjà voté une aide de 100.000euros pour la partie immobilière. Une aide qui vient s'ajouter à la subvention de l'État (33%) dans le cadre de labellisation Pôle d'excellence rural, à l'aide du conseil général de la Loire et à celle de la Région dans le cadre du PSADER (plan stratégique agricole et développement rural) de Saint-Étienne Métropole.
Au total, c'est près de 53% de l'investissement qui devrait être financé par de l'argent public
Fin de citation du JDE : Le Journal des Entreprises 42 du 2 Mars 2012.
Citation du délibéré de St Etienne Métropole Mercredi 15 02 2012 : 'Coup de main à la filière bois'
« Si on n’agit pas, c’est toute la filière locale qui va disparaître, assure Maurice Bonnand, vice-président en charge de l’économie agricole, l’UE obligeant l’utilisation de bois séchés depuis janvier dans le bois d’œuvre, nos producteurs n’auront pas les moyens d’y répondre. Et les importations du nord de l’Europe s’accentueront.» D’où la création à Marlhes dans le Pilat d’une plateforme collective de séchage/rabotage créant des emplois. M. Bonnand précisant que « sur 5 entreprises fondatrices, 3 sont sur Métropole et représentent 83 % en emplois (NDLR : sur 80) », mardi, le conseil votait une participation de 100 000 € à cet équipement de 2,4 M€ exploitable en 2013, propriété de la communauté de communes des Monts du Pilat mais géré dans le cadre d’un Scic (Société coopérative d’intérêt collectif). Opposé à l’idée, le maire du Chambon-Feugerolles, J.-F. Barnier, signalait que la somme accordée « sera de 160 000 € et non 100 000 € » puisque la Région donnera 60 000 € via le Psader accordé à la Loire : Fin de Citation du délibéré de St Etienne Métropole Mercredi 15 02 2012
Réponse globale et succinct de GRINDESEL : Pour trouver ces deux infos il faut vraiment chercher. Elles ne m'étonnent qu'à moitié. Voici mon point de vue:
Les financeurs subventionneurs monteraient-ils au créneau de peur de se faire ridiculiser en ne parvenant pas à formaliser leur idée de ‘renforcement de la filière bois locale’ : A part pour une raison électorale on est en droit de se demander pourquoi St Etienne offre 100 000 € (de plus!) pour un tel projet + 60 000 via le Psader! Ca n'est tout de même pas une bagatelle en ces temps de vaches maigres! De quoi nourrir un certain nombre de nécessiteux!
Tous ces cadeaux avec nos impôts (et une part des leurs )… au bénéfice de cinq entreprises dont l’activité de l’une d’elle est déjà de sécher des sciages dans le 43 et souhaite curieusement s’intégrer à ce projet, les quatre autres se décomposant comme suit :
- Une entreprise de charpente du 42 qui achète depuis longtemps et achètera de plus en plus ses sciages suivant les lois d’un marché de plus en plus hyper concurrentiel et industrialisé, comme cela est, pour l’instant, le lot de toute entreprise sainement gérée. - Trois scieries du 42 dont la logique seraient, à mon sens, de s’équiper sur leurs propres sites, si elles veulent maîtriser à coût compétitif, leurs coûts et logistique compliqués de séchage de sciages sapins réputés difficiles à sécher, de plus en plus appelés à être normés/ enoeutés/ collés/ aboutés …et de moins en moins ‘massifs’.
L’obtention de subvention, même à hauteur de 53 % ( !), n’est pas une garantie de réussite d’un dossier dans le temps. Encore faut-il que les produits proposés collent à la demande et à des ‘modes’ de produits calibrés, industrialisés, qui deviennent de plus en plus des standards…
Les volumes de bois dits massifs sont en régression depuis des années. Maurice Bonnand, vice-président de Saint-Étienne Métropole déclare, contre l’avis d’un vrai professionnel de la scierie : ‘Ce que je peux vous dire, c'est que le projet tient la route, sous réserve qu'au bout de trois ans, on vende 3 à 4.000 m³ de bois séchés. C'est largement réalisable. D'autant que la communauté européenne oblige désormais à vendre du bois séché».
‘Sous réserve que …’. Ce non professionnel du bois est-il compétent pour apprécier ce que représente réellement le fait de devoir vendre 3 à 4000 m3 de sciages séchés chaque année pour ne parvenir qu’à équilibrer les comptes (suivant les données actuelles) d’un projet qui n’absorbera pas la totalité des volumes sciés par les trois scieurs concernés, chacun conservant sa part de liberté ?...
« La communauté européenne oblige désormais à vendre du bois séché». OK une bonne mesure technocratique de plus… Ceux qui l’ont votée avaient-il conscience des effets induits par cette ‘bonne et nouvelle contrainte Européenne imposée aux scieries Françaises’ ? Une mesure de plus parmi les innombrables nouvelles contraintes qui pleuvent chaque jour sur les entrepreneurs de tous crins qui n’en peuvent plus de comptabiliser les surcoûts engendrés par la boulimie politico-administrative engendrée, rien qu’au niveau Français, par :
- 1000 parlementaires - 80 députés Européens - 2000 conseillers régionaux - 4000 conseillers généraux - …sans oublier plus de 530 000 élus municipaux ! - Certains B.E ou bureaux associés . - Certaines officines défendant ardemment les intérêts départementaux de la filière bois, présentent avec un nom différent dans chaque département ! C'est ainsi que se sont construitent de superbes 'maisons du bois', un peu partout sur le territoire.
On compte, en France, un élu pour …107 habitants ! Un niveau quatre fois et demi supérieur à celui des Etats-Unis (Dixit J.P. PETIT économiste, président des Cahiers Verts de l’Economie) Source : Tribunes N° 773 d’Avril 2012 – L’EXPANSION.
Je me permets d’ajouter à ces innombrables consommateurs et inventeurs permanents de subventions diverses :
- 1 million d’associations de toutes natures - 14 millions de bénévoles soit, en gros :
1 président / 1 vice président / un trésorier et un secrétaire pour chacune d'elles défendant mordicus leurs bons droits à subventions, aides diverses et en recherche de créations sociales et solidaires innovantes …
On compte ainsi en France une association pour 70 habitants de tous âges ! Combien d'actifs pour financer toutes ces aides sous couvert que certaines sont évidemment honorables ?! Chacune reçoit (ou réclame) une subvention ou aide financière. Est-ce raisonnable et supportable par la collectivité ? Exemple : Les SCIC, le nouveau truc ‘à la Madoff’ pour créer des emplois assistés, récent concept financier à la mode sensé parmettre aux Français d'exprimer leur 'sens social' exacerbé et bien montrer au monde entier que la France éternelle, révolutionnaire, 'donne toujours l'exemple'! N'a-t-on pas dépassé le bon sens ?
N’est-ce pas ahurissant ? Le chiffre d'affaire d'une entreprise ou de l'état (donc nous) devient de plus en plus dématérielisée, virtualisé ! Le bon sens des travailleurs, salariés comme entrepreneurs de tous crins, finalement concernés refera-t-il surface face à cette déferlante incroyable de droits soit disant acquis comptant sur eux pour alimenter une pompe à 'phynances' devenue, en une génération (la mienne !) totalement informelle? Un peu comme un tuyau recevant un filet d'eau de plus en plus mince en amont...
‘Entrepreneurs’ souvent engagés dans cette spirale inflationniste par la magie du virus actuel de la réunionite à plusieurs 'décideurs' autour d'une table. Adeptes du ‘tout tout de suite’, ou le nombre de beaux parleurs de tous bords présentant des intérêts divergents est inversement proportionnel à ceux qu’ils souhaitent aider à investir contre vents et marées…race qui se réduit comme peaux de chagrin, le système Madoff leur ayant récemment démontré durement et logiquement les limites de certains systèmes.
‘Beaux parleurs / Payeurs’ que, par contribuables interposés, les ‘Entrepreneurs’ écoutent avec intérêt (évidemment) alors qu’ils sont sensés être les spécialistes des sujets abordés, pour leur propension à redistribuer les richesses virtuelles accumulées … Après tout pourquoi pas, eux aussi, ‘n’en profiteraient-ils pas ?! Pensez donc : 53 % de 2,6 millions d'euros c'est le loto! Au départ du projet l'estimation était à 2,3 ... En final l'investissement atteindra quel sommet ?
A la fin de ce jeux qui paiera ?
Je souhaite, pour ceux qui investissent dans de telles aventures leurs deniers personnels sinon leur avenir social, qu’ils ne soient pas les dindons d’une farce qui a déjà sévie par ailleurs…en l’occurrence dans la gestion désastreuse de la SCIC BOIS DU HAUT FOREZ à Noirétable 42 !
Pour la pérennité de leurs entreprises personnelles. Pour que cesse le gaspillage des soit disant ‘fonds publiques’ au bénéfice éphémère des pubs ainsi constamment concoctées par certains irresponsables, politiquement tombés, comme on dit, ‘en charges’, par vocation politique ou nécessité d’accepter un emploi, dans nos innombrables services dits publiques, devenus pléthoriques, redondants et s’occupant de dossiers qui s’appelaient, il n’y a pas si longtemps : la libre entreprise et service (?) publique!
On n’a jamais vu autant de fonctionnaires se prenant pour des chefs d’entreprises ! Où sont-ils quand leurs jouets se cassent ? Heureusement pour eux : même ceux qui se sont laissés entraîner par le mirage de l’argent facile en souscrivant à ce genre d’opérations n’osent se manifester ! Aucun compte ne'est demandé! Ce fut mon constat lors du fiasco du Pôle Bois du Haut Forez !
Quel expert peut m’expliquer un tel renoncement à dénoncer l’inacceptable ?
GRINDESEL , votant sans parti pris de politique politicienne. Français ayant travaillé 56 ans pleins, plus de 35 heures par jour, (moyenne 48/50 heures) fier d'avoir gagné sa retraite et participé (un peu) à celle de certains autres - Se demande si le travail ne l'a pas maintenu en bonne santé... Est toujours disponible pour bosser même bénévolement et sans subventions ... ET RALER ! 02 04 2012
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| | | GRINDESEL Admin
Nombre de messages : 856 Localisation : Commelle Vernay Date d'inscription : 21/03/2007
| Sujet: PRECISIONS QUI NE SONT PAS SANS INTERËT-S ... Ven 6 Avr - 19:31 | |
| PRECISIONS QUI NE SONT PAS SANS INTERËT-S ...sauf pour les contribuables !
Jean-Paul Martel, directeur d'Inter Forêt-Bois 42, qui soutient le projet au titre d'animateur de la filière précise : " Cette remise en question est plutôt bon signe. Nous avons à faire à des industriels qui ne veulent pas faire n'importe quoi. Ils cherchent des solutions pour réduire cette facture et faire passer le budget».
En effet, si le budget d'investissement, estimé à l'origine à 2,52millions d'euros, venait à exploser, «c'est la rentabilité même du projet qui serait remise en cause», explique Jean-Paul Martel. Chat échaudé craindrait-il l'eau froide ?
Optimisme ou confiance aveugle ? Saint-Étienne Métropole - qui a sauté à pieds joints dans ce projet politiquement porteur à ses yeux - a d'ores et déjà voté une aide de 100.000 euros pour la partie immobilière. Une aide qui vient s'ajouter à la subvention de l'État (33%) dans le cadre de labellisation Pôle d'excellence rural, à l'aide du conseil général de la Loire et à celle de la Région dans le cadre du PSADER - pour rappel 60 000 € -(plan stratégique agricole et développement rural) de Saint-Étienne Métropole.
Au total, c'est donc bien près de 53% de l'investissement qui devrait être financé par de l'argent public. Les cornes de l'abondance! Etonnez-vous ensuite que tout le monde réclame sa part du gateau soit disant enfermé quelque part dans les caisses ...Depuis le temps qu'on en parle il parait qu'il serait passablement rance et sentirait lui aussi le sapin... POUR L'INSTANT FAUT PAS EN PARLER, de gauche comme de droite tout ceux qui ont demandé ont été servis !
GRINDESEL
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| | | GRINDESEL Admin
Nombre de messages : 856 Localisation : Commelle Vernay Date d'inscription : 21/03/2007
| Sujet: POLES BOIS : DEUX EXEMPLES A NE PAS SUIVRE... Mar 29 Mai - 18:41 | |
| Après le fiasco du Pôle Bois du Haut Forez dans le 42 et sa liquidation en 2011 après seulement 18 mois d'activité va-t-on assister à un désastre similaire au POLE BOIS DU TRIEVE ou S.V.B.T, Société de Valorisation des Bois du Triève dans le 38 ? Même schéma mêmes misères...
Je découvre ce jour l'étendue de leurs difficultés sur le site société.com...!
Combien de dossiers similaires la filière bois à la mode dite SOCIALE et SOLIDAIRE, tente actuellement de gérer, de sauver ...à fonds perdus !?
Je crains que nous en ayons quasi un par département!...(dans la filière BOIS)
Qu'en est-il pour les autres filières? On peut s'inquiéter quand on sait que la course aux subvention est devenue un sport national et que nos chefs d'entreprises sont de plus incités à faire la manche!
L'entrepreneur Français serait-il désormais incapable d'investir seul, de sa propre initiative, sans sollicciter les largesses financières et la bénédiction de l'administration ? Quand on voit le résultat y'a de quoi s'inquiéter!
Depuis les années 1980 les bureaux d'études en tous genres ont fleuris de toutes parts. Quelles sont leurs véritables valeurs ajoutées dans un dossier ou la politique prime toujours sur l'économie ? Leurs conseils sont-ils remis en question? Est ce faire du social que de faire réver les gens ?
Qui donnera son avis sur cette question d'actualité?
GRINDESEL | |
| | | GRINDESEL Admin
Nombre de messages : 856 Localisation : Commelle Vernay Date d'inscription : 21/03/2007
| Sujet: SCIC une entreprise sociale et surtout solidaire. Mar 12 Juin - 15:12 | |
| Un exemple de gabegie des fonds publiques ...parmi d'autres!
A Noirétable, en décembre 2008, a démarré l'activité d'un « Pôle bois », situé zone artisanale de l'Etang, à proximité de l'entreprise OSSABOIS, leader français de la construction bois.
Labellisé PER le 07 décembre 2006 pour une dotation de 790 000 euros de l'Etat, cet ensemble constitué en Société Coopérative d'Intérêt Collectif (SCIC) était un projet porté par la Communauté de Communes du Haut Forez.
Quelques données sur l'importance du projet : – chiffre d'affaire prévisionnel à n + 2 : 3 800 000 euros La réalité = 500 000 € – nombre d'emploi envisagé n + 2 : 6,5 La réalité = 4 dont deux improductifs !
– intérêt développement durable : développement de la filière en lien avec le lycée agricole de Roanne Chervé et l'antenne forestière de Noirétable, réduction des importations (généralement en provenance d'Allemagne) et donc des transports..
La réalité = Le refus DES réalités...
L'entreprise a été mise en liquidation 18 mois après sa mise en service...Par bonheur le site a été repris: BF 42 va y créer une unité de production de bois bûches haut de gamme du même type que BF 36 (groupe EURO ENERGIE /POUJOULAT)
Qui va payer le solde pour tous comptes?
GRINDESEL avait annoncé ce fiasco TECHNIQUEMENT prévisible avant sa grandiose inauguration... | |
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