NEW ...de GRINDESEL
* CONDENSE
- Curieusement, aucun homme d’état ni banquier n’a, à ma connaissance, su imaginer à ce jour un prêt à taux négatif variable subordonné à une étude préalable approfondie de chaque cas relevant d’Economie Sociale et Solidaire.
- Aide accordée en confiance et assistance à toutes personnes en difficulté (s), prêt capable de remotiver et remettre en selle celui qui en a besoin pour survivre et parvenir à rebondir en supprimant, tout au moins pour les plus motivés, l’humiliation de solliciter les multiples aides actuelles, sources de coûts fixes redondants pour l’administration comme pour les associations…
- Indirectement, l’étude approfondie effectuée lors de ce prêt d’honneur à guichet unique permettrait peut être d’éliminer les tricheurs trop nombreux !
- En attendant nos politiques comptent avant tout sur une solidarité ...angélique![/i]
* Economie Sociale et Solidaire :
A défaut de savoir comment créer de vrais emplois nos hommes politiques sont ravis de créer du rêve à courte vue avec ce concept qui ressemble étrangement à un remake potentiel de subprime version nationale !
Le mode d’Economie Sociale et Solidaire qui va parait il faire l’objet d’un vote au parlement début Mai 2014 ne peut que conduire un peu plus vite notre économie déjà bien malade dans le mur.
Le vieillissement d’une population réclamant une prise en charge de plus en plus couteuse ajouté au fait que les anciens et actuels chômeurs vont devenir eux aussi des retraités ayant peu, voir pas cotisés, donc devenir de nouveaux assistés, ne semble pas inquiéter nos dirigeants!
Gérer est parait-il prévoir.
Face à l’inconséquence de nos dirigeants de tous bords ne sachant gérer sans ouvrir les vannes financières ni accepter l’impopularité nécessaire, qui … tire la sonnette d’alarme et dénonce le gouffre sans fond de nos énormes charges actuelles et à venir?
En laissant croire que la multiplication d’aides et assistances en tous genres suffira à faire rêver et survivre les exclus de notre société et calmera les inquiétudes de financeurs de moins en moins nombreux et de moins en moins disposés à prendre en charge ‘toutes les misères du monde’ qui peut nous indiquer la date de la ligne de fracture que l’on ne pourra éviter ?
Il parait que plus de 20% de la société française actuelle fonctionnerait- 2014- sur le principe d’une économie sociale et solidaire globalement déficitaire !
- Savez vous qu’en France nous avons une association pour environ 70 personnes avec président/ vice président/secrétaire et trésorier soit plus de 6% ayant un titre ajouté à la troupe d'une population bénévole …
Tous super motivés pour défendre bec et ongles l'indépendance de leur 'petite entreprise' et le maintien, si possible l'augmentation, de leurs subventions!
- Toutes réclament en effet des subventions…Certains de leurs membres paient l’ISF et profites tout de même de ces aides ! Beaucoup de ces associations n’ont en effet rien à voir avec le juste concept des aides sociales !
- Le concept social et solidaire se développe souvent sur les décombres d’entreprises ayant démontrées qu’elles n’étaient plus rentables …sur le plan économique… L'emploi à vie n'est pas un dû ni une fatalité! Chacun est libre de sa destiné et se doit quelque part de la gérer au mieux de ses possibilités.
- L’amateurisme généralisé serait-il la nouvelle recette du parfait entrepreneur ?
- Astuces juridiques ou économiques de tous poils imaginées par de bonnes âmes ou multi services débordés par leurs louables et compréhensibles incompétences à assister et maintenir en survie des entreprises de services employant une cohorte exponentielle de gens que l’on a vu inexorablement se former …depuis la robotisation sans fin et à marche forcée des activités humaines !
- Mutuelles et assurances diverses augmentant leurs tarifs au fur et à mesure des trous qui se creusent sans cesse dans leurs caisses, concept similaire à celui mis en place dans la création ‘d’entreprises nouvelles et créatrices d’emplois’ par celui ingénument appelé ‘sanitaire et social’, camouflant lui aussi l’absence de création de richesses …concept lui-même plus ou moins virtuel de la quête du bonheur ! Quel bonheur ?
- Banques réclamant des taux d’intérêts inversement proportionnels à la capacité financière des gens en difficulté …en les renvoyant vers d’autres aides finalement payées par un pourcentage de plus en plus réduit de gens dits solvables !
Une piste qui en vaut bien d'autres parait-il expérimentée en Inde...
- Curieusement, en France, aucun homme d’état ni banquier n’a, à ma connaissance, su imaginer à ce jour un prêt à taux négatif variable subordonné à une étude préalable approfondie de chaque cas relevant d’Economie Sociale et Solidaire.
- Ce type d'aide UNIQUE pourrait être accordée en confiance et assistance à toutes personnes en difficulté (s), prêt capable de remotiver et remettre en selle celui qui en a besoin pour survivre et parvenir à rebondir en supprimant, tout au moins pour les plus motivés, l’humiliation de solliciter les multiples aides actuelles, sources de coûts fixes redondants pour l’administration qui crée ainsi des emplois, comme pour les associations qui s'y sont aussi mis … Cette aide pourrait constituer l'un des points central de son C.V. en montrant la détermination de son porteur 'à vouloir s'en sortir'...
- Indirectement, l’étude approfondie effectuée lors de ce prêt d’honneur à guichet unique permettrait peut être d’éliminer un certain nombre de tricheurs aux aides sociales !
Le principe actuel du concept social et solidaire que l’on nous présente comme une panacée pour combattre le chômage n’est que le perfectionnement de pratiques anciennes :
Dès les années 1970/1980 l’état avait déjà entrepris de créer des emplois ‘aidés’ pour visiter et aider les chefs d’entreprises ahuris de découvrir ‘les aides dont ils avaient droit’ ou, en cas de disparition, leurs employés pour reprendre le flambeau avec des montages financiers de plus en plus sophistiqués !
Fort de ce montage social innovant (mot déjà à la mode), les politiques locales/ départementales/ régionales/ nationales et/ou Européennes lui ont accordé moult subventions qu’elles s’empressent en général de consommer !
Elles montent illico presto les actions ‘publicitaires’ désormais incontournables : sites internet richement construits, publiques, privés …ou associatifs, inaugurations politico-économiques, invitations de futurs confrères tentés de dupliquer le concept et se déplaçant par car entier, présences à conférences et réunions diverses largement informatisées et médiatisées pour présenter l'art et les manières de pomper les mannes administratives, nomination d’un directeur… gonflant des dépenses sensées pérenniser leurs maigres recettes en prévision d’un monde meilleur.
Ainsi grossi la multiplication des emplois dits aidés s’inspirant de la parabole de la multiplication des petits pains au bord d’un Jourdain déjà occupé …à l’époque du Christ et de ses disciples !
L’outil de travail (cestquoiça ?) se délabre ou ‘n’est pas encore adapté’? Le solidaire y pourvoira…sans fin ... mais non sans faim à venir pour un plus grand nombre !
De nouveaux gogos sont conquis par le message idyllique repris en cœur par tous les médias à qui manquaient de nouveaux thèmes ‘innovants’, dans le style filières et idées ‘renouvelables’ et ‘création d’emplois’. Y'a ka prendre l'argent ou il est : et après ?
Sil n’y a qu’un seul emploi de créé – et réussi- la prouesse ne fait pas toujours la une médiatique…
Qui n’envie pas les avantages acquis incroyables dont bénéficient les employés de nos mégas sociétés nationales subventionnées, cocoonant leurs heureux membres via les énormes budgets de CCAS débordant d’imagination pour consommer, entre bénéficiaires, des avantages plus durement acquis ‘par l’ancienne génération’ que, parait-il, par toutes autres corporations!
Ils ont même inventé le concept de pénibilité en oubliant de citer ceux qui s’ennuient de ne rien avoir à faire et qui trouvent, sans oser le dire de crainte d’être mis au placard, la situation encore plus pénible que celui qui travaille !
Congés divers et familiaux à périmètre souvent élargis et à prix écrasés, horaires adaptés, clubs/voyages à prix écrasés voir gratuits, salles voir stades de sport(s) à disposition avec équipements individuels, réunions de formation(s) périodiques , droits à audits divers surévalués pour la bonne cause, banquets annuels souvenirs pour les anciens, primes de départ, de réversion à taux pleins, réductions en tous genres, le tout strictement réservées aux membres en toutes exonérations fiscales
… Un état intouchable dans l’état!
Si notre belle mécanique économique s’est enrayée c’est la faute à …tout le monde porté par les idées du changement permanent…
[i]Idéalisme sans arrêt dépassé par celui colporté entre temps sur face book, la machine soit disant universelle à produire des idées de consommation diffusables et bientôt livrables à la vitesse de la lumière en attendant toujours plus!
Comme les anciens et nouvel élu de notre république moribonde et leurs équipes n’arrivent plus à boucher les trous que s’emploient à creuser, avec d’autres innombrables envieux les 20% d’administrés séduits par la pensée sociale et solidaire, il se dit que, finalement, faire fonctionner ce principe de vases appelé ‘SOLIDAIRE’ est bien confortable.
Impeccable ! 20 % de Shadocks étant formatés à leur corps plus ou moins dépendants pour pomper la part des 80% restant sur laquelle il n’en reste que 20 % de solvables – ou s’étant organisés comme tel- contribuent.
Part sensée pouvoir alimenter les caisses d’un état Père Noël devenue solidaire de L’ESS… en bossant comme des malades qu’ils sont apparemment devenus depuis le temps soit disant idyllique d’Eve et Adam.
Bizarre bizarre : Le SS ?! Ca ne vous rappelle pas quelque chose…Ca fait extrême droite !
C’est pas plutôt RS ??! On s’y perd ! CRS ?
Ha oui : ils ne veulent plus bosser eux non plus ...les matraqueurs salariés pour la bonne cause de la république ! Leurs femmes veulent les voir à la maison à 16h30 pour s’occuper des devoirs des gamins afin qu’eux aussi puissent un jour imaginer des actions ESS tout en profitant de leur RTT et d’heures de cars plus agréables.
Coifotilenpensé ? Que notre société ne sait plus évoluer que sur le rêve et l’amateurisme ?
En 2010/2011 ce fut la recette du défunt pôle bois de Noirétable 42 .
A ce pôle bois du Haut Forez de Noirétable 2 employés étaient censés couvrir leurs maigres salaires et nourrir une directrice incompétente mais surpayée et un chef d'atelier qui n'avait visiblement jamais tenue cette fonction!
Résultat : 500 000 € de chiffre d'affaire ...pour 550 000 € de pertes! Des 4 emplois créés ce sont certainement les 2 employés qui ont été les plus méritants! Que sont ils devenus ?! La directrice aurait parait il de suite trouvé un boulot politico économique et le sous directeur serait à l'âge de la retraite.
Sous couvert d’une SCIC, Sociétés coopératives d'intérêt collectif , sociale et solidaire deux mots magiques, montage imaginé par un consultant en entreprise à la retraite et un groupe hétéroclite de bénévoles ayant convaincu le monde politique de leur accorder des subventions, démarche désormais indispensable pour créer une entreprise que tout le monde a oubliée depuis, sinon ignorée, sauf plus de 220 personnes privées, entreprises et organismes para publiques plus ou moins ‘vivement sollicités’ qui n’ont pas, à l’époque de sa magistrale déconfiture, osés manifester alors qu’ils avaient mis la main à la poche et validés par leurs engagement 'responsables et solidaires', 2,8 M€ de subventions diverses en apportant seulement 10% de la mise (condition déclarée comme sine qua non par 'les pouvoirs publiques' pour obtenir ces 2,8 misérables M/euros ) , le tout craqué en 18 mois chrono!
Combien d’autres opérations du même genre, disparaissent ainsi chaque année ?! Et l'état cherche à faire des économies ?!
L’imagination entrepreneuriale de nos hommes politiques bardés de diplômes est sans borne surtout quand il s’agit de puiser dans la caisse du contribuable !
Tous deux s’ignorant curieusement, pourtant tous les deux actionnaires parmi plus de 60 millions de Français d’un état fonctionnaire, passage obligé des temps modernes, via une administration sclérosée (la faute à qui ?), pour celui qui veut créer des emplois ! Sans cette hydre tentaculaire plus rien ne se fait!
La règle est de consommer le budget de l'année précédente pour espérer pouvoir le renouveler sans fin, agrémenté d'une majoration dépassant la hausse du coût de la vie sans tenir compte des intérêt d'une dette nationale colossale!
Certains de ces 220 pas très heureux actionnaires n’ont pas tout perdu : Soumis à l’ISF' ils ont du pouvoir déduire une partie de leur perte! Les autres se sont tus!
Pour ma part l'appât du gain n'a jamais été mon moteur principal...et je n'ai jamais cru aux pères Noël qui annoncent raser gratis!
Grace à cette heureuse disposition d'esprit fortement imprimée par les chromosomes paternel le travail a certainement contribué à ma bonne santé malgré des horaires hebdomadaires de l'ordre de 55 heures et un niveau de pénibilité 'ouvrière' que les normes en cours d'études n'oseront probablement pas formaliser de crainte de devoir faire d'innombrables procès à la plupart des artisans des années 1955 et suivantes... et à beaucoup de parents soit disant indignes !
Vouloir mesurer la pénibilité est bien prétentieux sauf à penser qu'une usine à gaz n'a qu'une entrée ...et une sortie!
Ecrire sur nos travers, y compris les siens ressemblant curieusement à ceux des autres, est très mal vu.
Je sais de quoi je parle pour dénoncer ce qui m’hérisse le poil…et m’être fait repérer dans toutes les réunions ou j'interviens de manière pas toujours appréciée!
Mon père m'a toujours instruit sur le fait que la ligne droite est toujours la plus rapide pour parvenir à ses fins...Avec l'âge cela devient une manie que certains nomment impatience quand on s'aperçoit que les pages tournent de plus en plus vite.
Dénoncer les excès des travers sociaux actuels et d'antan sur lesquels vous-même et votre serviteur peuvent citer un exemple étonnant (la preuve ci-dessus) et regretter le bon sens qui n’habite plus depuis longtemps chez nous, est considéré comme in-con…grue…
Le mot solidaire ne signifie-t-il pas pourtant accepter, partager, après débat démocratique, les pertes comme les plus hypothétiques profits surtout arrivés au stade ou nous en sommes?
Cecoiledbatdemocratic ?
Bon sens, réalisme ou autoritarisme ? Après nous le déluge …
Nos enfants de 3 à 25 ans préparent parait-il déjà leurs vacances … et rêvent de plus en plus d’habiter chez leurs parents.
Leurs parents utilisent pour l’instant leurs RTT à rallonger des ponts ressemblant cette année à des mini viaducs.
Les grands parents, quant à eux, partent en voyage au Maroc ou dans leurs pieds à terre en bord de mer tout au moins pour ceux qui ont suent placer leurs ‘maigres économies’ et avoir péniblement acquis une maigre retraite officielle durant leur vie dite active.
Avoir du liquide dans la poche a toujours incité à la débauche…
GRINDESEL le 26 Avril 2014 * Confirmé le 31 01 2015
26 12 2014 :Dans la même rubrique lire - en plus court - LE POLE BOIS DU TRIEVES .