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 PEFC et FSC troublantes similitudes avec la viande de cheval

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GRINDESEL
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GRINDESEL


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MessageSujet: PEFC et FSC troublantes similitudes avec la viande de cheval   PEFC et FSC troublantes similitudes avec la viande de cheval EmptyMar 5 Fév - 20:44

PEFC petit effort financier (peu) convaincant

Certification PEFC : ‘Pour vendre son bois, PEFC devient un argument commercial indispensable au propriétaire forestier.’

Cette affirmation lue sur le site de Forêts Privées Françaises me parait totalement gratuite …et ne pouvant convaincre que ceux qui ont pondu cette abréviation !

Je ne comprends vraiment pas ou se trouve l’intérêt des propriétaires forestiers à défendre cette association si ce n’est pour défendre des personnes à double casquette – honorables par ailleurs – qui s’y sont engagées.

PEFC belle invention marketing partant de la maladie actuelle que tout doit être codifié, normé, surveillé, découlerait elle d’un système de pensée et d’action désormais banalisé ?
.
Merveilleuse réflexion entre amis de mêmes tendances dans un salon Parisien (mot générique)…

L’opération PEFC démarre. Bien relayée par des gens disponibles, toujours à l’affût de défendre une bonne cause n’excluant pas, à l’occasion, l’idée de pouvoir en retirer un certain profit…sinon une certaine notoriété.

Comme les plus de 860 000 associations de tous genres présentes en France (moyenne 70 participants = 60 millions de membres) elle a un président et tout le staf nécessaire)

Elle peut donc prétendre à subvention(s).[/b]

Le concept est Français. Cela plait. Encore une fois la France impose une idée au monde face à un système Américain du même acabit mais …Américain, défaut majeur !

Création d’emplois, consommation de subventions en absence de cotisations suffisantes, émissions de rapports d’activités et newsletters (ce mot sonne mieux que fiche technique) luxueuses (multi couleurs, qualité du papier …) avec photos de personnes généralement ‘représentatives’….

Une vraie entreprise disposant d’un super budget à la gloire d’une association se déclarant à but non lucratif pour promouvoir la gestion durable des forêts Françaises ( ? ) ainsi qu’une garantie aux acheteurs et transformateurs de bois qui souhaitent valoriser la gestion durable des forêts – Françaises ( ?) et mettre en avant l’origine du bois qu’ils utilisent et commercialisent.

Dix ans après ce lancement qu’est-il advenu de ces beaux et bons principes sur papier glacé vu non pas d’un confortable bureau mais dans les bottes d’un propriétaire lui aussi, à l’origine, tenté de participer …pour voir de l’intérieur comment allait se concrétiser, sur le terrain, cette lumineuse et idéaliste idée.

Je propose de vous conter ma propre expérience sur le sujet.

Je pense avoir été l’un des premiers Rhône Alpin à avoir cotisé à PEFC. Nous étions je crois en 2002 …Comme beaucoup je venais de devenir propriétaire forestier par héritage.

Il m’a semblé naturel de tenter d’optimiser l’existant. Je pensais être contrôlé dans les trois ans …comme cela était prévu.

La propriété n’a été contrôlée que fin 2012 soit 10 ans plus tard et encore par ce qu’il a fallu renouveler notre PSG (Plan Simple de Gestion désormais obligatoire - et utile)!  

Opération coïncidant avec le renouvellement de l’inscription à PEFC et peut être aussi parce que je m’étais étonné, lors de différents écrits et réunions que le texte n’était pas suivi d’efficacité. Finalement j’étais toujours sceptique mais…pourquoi ne pas continuer ?

Rhone Alpes PEFC annonçant 9 521 propriétaires adhérents au 31/12/2012 et 40 contrôles/ an la probabilité d’être contrôlé est donc plus que faible ( 238 ans…).

Ajoutons à cela que PEFC se fait elle-même audité par ECOCERT cela me laisse pantois. PEFC et le CRPF n'ont pas le personnel habilité ?

Terminons par le fait que mon contrôle m’a été signifié quelques jours à l’avance peut laisser penser que s’il en est toujours ainsi certains constats gênants peuvent avoir disparu entre temps …Celui qui ne comprendra pas ne connaît pas le milieu forestier concerné par l’action PEFC

Le renouvellement a été accepté : Merci . Et j’ai réglé à nouveau ma cotisation. Ca fait tout de même cher les infos reçues à la gloire du concept quant on découvre le prix de vente d’un m9 de sapin cubé sous écorce , vieux de 100 ans : 0,38 € l’année moins les frais  !

Je cherche encore les éléments sérieux qui justifient une telle intoxication médiatique pour emporter l’adhésion des 92,5% de propriétaires forestiers en Rhône Alpes, lucides et réfractaires aux sirènes PEFC , face aux 70 et 100% des gestionnaires de forêts communales et domaniales ne représentant que 35% de la surface forestière globale.

Un tel taux d’adhésion des administrations me trouble.

Leurs décideurs, visiblement convaincus par des arguments ou l’économie réelle n’est généralement pas leur tasse de thé ont-ils cherchés à comprendre, comme je tente de le faire depuis 10 ans, la finalité de leur engagement autrement qu’en se bornant à signer un chèque tiré d’une caisse n’étant pas la leur ?

Miracle permanent d’un certain esprit administratif opposé à celui du propriétaire ou de l’entrepreneur privé. Miracle étonnant de la convergence d’intérêts opposés sur un concept me paraissant de plus en plus creux.

Je viens de faire un constat auquel je ne m’attendais pas mais que je craignais découvrir  depuis mon affiliation.

Après 10 ans de tentatives de collaboration avec la Coopérative COFORET (2002/2012) , et un échange quasi annuel, durant près de 10 ans, de courriers quant à leurs méthodes sylvicoles et managériales j’ai décidé de rompre nos liens et de confier zn 2013 une coupe d’essai de 220 m3 de gros sapins à un entrepreneur de travaux forestiers que m’avait fortement recommandé l’un de mes amis et un important scieur Bourguignon. Tous les deux connus pour leur rigueur.

La négociation tarifaire fut, comme la période économique actuelle… difficile.

J'ai du attendre la fin du chantier pour réaliser que vendre des bois était un exercice difficile parsemé de curieuses pratiques ...encore plus désagréables que celles que j'avais vécues durant les 10 ans précédents !  

Peu importe. Il fallait faire cette coupe pour raison sanitaire et ce choix m'a permis d'apprendre encore et toujours. Une astuce pour 'rester jeune'.

Le chantier et la qualité des hommes a été PAR CONTRE exemplaire. Quel ne fut pas, PAR CONTRE, ma surprise de lire le mot ci dessous , confirmé par mail, lorsque j’ai tenté de faire valoir les importants aménagements apportés sur le site facilitant le travail de l'exploitant en question et le fait que mes bois étaient certifiés PEFC ! Logo que d’ailleurs j’affiche fièrement à l’entrée de mon dépôt centralisé.

Je cite sans enlever un mot. (L’entreprise exploite plus de 30 000 m3/an).

‘Le fait que les bois soit  PEFC n’améliore en rien leur qualité. Nous n’avons jamais acheté ou vendu des bois plus chers du fait qu’il soit PEFC, nous n’avons aucune demande en bois PEFC.’

J’ai reçu ce message après coupe et débardage réalisés.  Je m’aperçois maintenant que les règles d’exploitation imposées par mon engagement PEFC … n’ont pas été abordées lors de la négociation ! Elles ont pourtant été globalement respectées…

Le résultat correspond en tous points à ce que j’attendais, personnellement, de leur prédécesseur ce que je n’avais pu obtenir malgré mon insistance, perçu, je le crains, comme venant d’un propriétaire trop exigeant et voulant tout régenter lui-même je ne me suis pas de suite rendu compte que le nouveau partenaire 'était pire que le premier'! Le travail de terrain était fait par une équipe de jeunes pros, super organisée, en un mot 'bluffante'.

Par contre les pratiques commerciales se sont progressivement découvertes comme 'contraires à mon attente'....

Après avoir rencontré et apprécié son nouveau directeur, pour la petite histoire et après expériences vécues des deux 'formules' je suis finalement revenu à la COFORET .

J'ai opté pour ce que je pense être la moins mauvaise des décisions : Retrouver ma liberté de débattre sur la recherche de l'excellence ...sans prendre le risque - tout au moins je l'espère - de me faire arnaquer comme cela a été le cas !

[b]Je conte cette expérience par ailleurs dans ce forum ...car elle n'a pas correspondue à ma philosophie du 'vrai professionnel' qu'est en droit d'attendre un retraité désireux de confier progressivement certains travaux et contrôles techniques qu'il n'aura bientôt plus le pouvoir de contrôler.  


J’ai 57 ans de pratiques forestières et scieries derrière moi. Avec l’âge venant je souhaitais confier la part de travaux que je savais réaliser ou tentait de surveiller moi-même auparavant ce qui me permettait de corriger- je le pensais ingénument - les lacunes de prestations effectuées par autrui !

Je ne regrette rien. Cette expérience je voulais la faire pour apprendre à mieux vendre moi-même mes bois… La formule coopérative colle finalement  mieux avec mon approche personnelle du contact direct et aux bonnes pratiques .

Je possède désormais des ratios précis d’âge, de conicité et de pourcentage d’écorces de mes bois et des temps et coûts de débardage  etc…

En remontant la chaîne puis je me permettre de douter fortement que cette superbe construction PEFC ne soit pas tout aussi virtuelle que l’est le monde administratif actuel pour moi déconnectée de la réalité des entreprises de terrain. La COFORET privilégie l’administratif ET le technique . C’est son choix et cela me convient . Le résultat est toujours perfectible : C'est une affaire d'hommes.  

Comment peut on expliquer, et qui peut raisonnablement croire que 80% des sciages Français produits par les entreprises de scieries les plus importantes de France se déclarent quasi toutes ‘certifiées’…alors qu’elles ne peuvent s’approvisionner que sur seulement 35 % de la surface forestière Française. ? Sur cette surface quel est le volume de bois certifié mis en vente ? Données non diffusées.

Les bois certifiés PEFC qui ne sont pas vendus comme tel (Ce fut peut être mon cas avec cet exploitant ? J'en doutes sérieusement ) étant exclus des 35 % arriveront ils malgré tout certifiés sur le marché ? Je n’en sais rien. On devrait craindre ce genre de manipulation : comment est elle contrôlée ?

Le volume en question ne doit pas être négligeable !? Assisterions nous à la multiplication miraculeuse des bois certifiés PEFC ? Je le crains !

Alors qui est grugé dans cette histoire ?

Le petit propriétaire qui croit encore à la multiplication des petits ‘PINS’ ? ( pardon : sa/pains) et est convaincu qu’il va au moins récupérer le montant de son chèque de certification ?

Les consommateurs – éco- logiques ou pas -  à qui l’on fait croire que sans certification la forêt Française était en danger avant PEFC, ses bois invendables et de mauvaise qualité, sous exploités ‘alors que nous avons l’une des trois plus belles forêts Européennes ‘?

Les désormais (rares et puissants) gros groupes de négoces de bois suspendus à leurs ratios de vente et convaincus que sans satisfaire à la mode du marketing PEFC leurs clients vont déserter leurs cabanes en bois idéal provenant de forêt gérées avec amour et des soins de jardiniers du dimanche ?

Les fabricants de maisons ou autres consommateurs de bois chez qui l’acheteur se demande et se contrefout de ce que signifient tous les sigles désormais accrochés, tamponnés, imprimés, gravés sur les produits qu’ils achètent, qu’ils soient en bois ou autres ?

Quel pourcentage de clients est capable de dire ce que signifie PEFC / ONF / CQFD / CGT / CFDT et des milliers d’autres abréviations toutes aussi mystérieuses ?


Un patchwork de tout cela  comme tout ce qui pilote désormais le management politique de nos petites et moyennes entreprises de plus en plus déboussolées et poussées à l’arrêt sous la pression de plus en plus politico administrative.

De ministres ou députés, se croyant maître du jeu …experts en inaugurations de mégas structures destructurantes en tous genres ou le fric acquis à court terme voir avant terme (subventions …) est roi et les arrangements avec la réalité de la filière bois bien éloignés de l’idée que l’on donne d’elles en montant de tels concepts de pompes à fric tendant à présenter comme de mauvais professionnels ceux qui ne se plient pas à la pensée unique !

Sans PEFC t’es mort ! Sans PEFC tu n’es pas compétent ? Tu es PEFC ?

Tu te dois de participer à des réunions, colloques et autres messes à la gloire de la pensée médiatique ! Tu n’as pas le temps pour frimer ? L’état nationalisera ton entreprise si tu sombres ou en fera une SCIC coopérative sociale et solidaire !

Tu as le droit de t’exprimer ...mais intérêt à la fermer sous peine de te voir retirer la formule magique sans laquelle tu ‘perdra de l’argent’…

Diable : que fais-je dans ce monde paisible de la forêt alors qu’une caisse en peuplier devrait tantôt m’accueillir et que peut être un forestier sympa boira un coup à ma santé lorsqu’il verra s’effilocher un mince filet de vapeur (ou de sève ?) dans le ciel de ma jeunesse évaporée ?

Avec quelques copains de chez MEM (tiens encore un sigle ! Vous connaissez ? C'était le constructeur de matériels de scieries pour lequel j'ai été VRP pendant 27 ans ) c’est ce que nous avais demandé de faire notre directeur commercial , mort d'avoir un peu trop vécu, sympa et compétent, original , professionnel.

Il nous avait convié pour son grand départ au crématorium de LYON ..

On l’appelait Monsieur LAMBERT. C’était son nom. Son vrai nom, pas une abréviation…

GRINDESEL le 05 02 2013


Dernière édition par GRINDESEL le Mar 3 Fév - 14:26, édité 3 fois
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MessageSujet: Défenseur de la veuve et de l’orphelin...du bucheron !   PEFC et FSC troublantes similitudes avec la viande de cheval EmptyVen 8 Fév - 23:38

Merci à la première intervention reçue suite à mon message sur PEFC

Bonjour
Je vous reconnais bien là GRINDESEL, toujours prompt à ferrailler quand il s’agit de « défendre la veuve et l’orphelin ». C’est ce que j’aime chez vous, votre façon d’exprimer les choses (dussiez vous faire un peut de provocation) et de pousser les gens dans leurs retranchements pour les faire réagir. Ca fait votre charme quoi !
Il m’est impossible, par manque de temps, de répondre de façon aussi précise à ce courrier qui demande une argumentation précise et qui pourrait occuper toute une nuit de débat. Débat auquel je suis prêt à participer s’il devait exister un jour.
Je répondrais juste que malheureusement on sait que toute bonne idée a parfois des développements ou des finalités qui ne sont pas exactement celles qui avaient été imaginées au départ. Oui, il y a des dévoiements liés à la qualité des hommes, oui il y a des arrières pensées politiques, des intérêts financiers et des non dits, oui il y a des intérêts parfois divergents, oui il y a des gens dépassée et d’autres avec des arrières pensées.
En revanche, je prétends que le bilan de PEFC au bout de 10 ans est globalement positif pour la filière si on prend u peu de recul et qu’il existe bel et bien une demande formulée par les industriels puisque la FNB monte au créneau pour dire qu’il n’y a pas assez de bois PEFC sur le marché et maintenant pour obtenir du bois FSC, certification encore plus contraignante et difficile à obtenir.
Tous les propriétaires ne sont pas des GRINDESEL, connaisseurs, compétents et motivés. De leur coté, les opérateurs, au delà de leurs compétences de conducteurs d’engins, d’acheteurs etc… n’ont pas tous les connaissances techniques et scientifiques nécessitées par la complexité des milieux naturels et c’est pour toutes ces raisons que les exigences du référentiel PEFC ont fait progressé la filière. Elles ont amené nombre de propriétaires à se poser des questions sur la gestion de leur forêt et sa finalité et nombre d’autres opérateurs à se remettre en question dans leurs pratiques.
Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Je ne fais pas preuve d’angélisme et connais assez bien le milieu pour savoir ou se situent toutes ses faiblesses et pour savoir aussi que si des industriels ne tiennent aucun compte de la qualification PEFC du bois, d’autres rétribuent celui-ci avec un prix différencié… justement parce qu’il y a une demande
Non, ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain .


REPONSE DE GRINDESEL

En ayant tenté d’écrire mon sentiment sur PEFC et en vous répondant j’ai quelque part le sentiment de marcher sur des œufs …

Heureusement il se trouve qu’un œuf est beaucoup plus solide qu’on ne le croit. Je tente donc le diable en espérant ne pas rompre le lien d’estime qui nous rapproche.

Voyant que vous avez débattu de mon message avec vos collaborateurs dites leur bien que je respecte profondément leur travail et l’esprit qui anime un concept qui, comme tout concept, a sa part d’idéalisme. Un peu comme l’excellence : plus on s’en rapproche plus il fuit …

Vous répondez parfaitement à mes interrogations sur le concept des coopératives forestières. Il fallait le créer. Le mettre en place et le gérer esr certainement difficile. Comme toute gestion d’entreprise le plus grand danger est certainement ‘l’endormissement des hommes et la tentative de s’arranger avec les difficultés’.

C’est ce que je reproche à la copérative régionale devenue une espèce de leader de la pensée unique forestière sur Rhône Alpes ce qui l’a, à mon avis, entraînée à un certain laissé aller de ses bases, sur le fond excellentes, sur la forme TRES discutables.

Il est vrai que je n’ai jamais voulu caler sur mes principes de qualité du travail et sécurité du personnel, respect des délais et normes affichées etc…Il est aussi plus facile de relever des anomalies que de réaliser LE travail parfait sur le terrain… Vous en savez certainement plus que moi à ce sujet. Il n’empêche que dans ce cas un dialogue devrait pouvoir ‘limer’ les points de tension. Je n’ai ressenti cette volonté , pourtant affichée par des new letters de plus en plus somptueuses … que lorsque la coupe a débordée le jour ou le directeur est parti à la retraite et que son remplacant m’a fait appelé par ‘son collaborateur chargé d’effacer les différents contentieux en cours’, me faisant comprendre que je n’étais pas le seul. Cela m’a rassuré car je sais que je fais parti des ‘pénibles’…

Ce que vous écrivez sur PEFC j’aurai pu l’écrire sans en enlever un mot. Je suis 100% d’accord avec votre analyse.

Il se trouve que je suis passé ce matin chez GF SERVICES. J’ai discuté de PEFC incidemment, avec un informaticien de talent intervenant sur leur équipement informatique dans le but d’en améliorer l’efficacité. Il m’a annoncé que l’une de sa spécialité était d’auditer des entreprises de seconde transformation inscrites à PEFC ! Il adore de travail et m’a semblé avoir une bonne vision de ce concept se généralisant, dans toutes les filières, sous la (soit disant) pression des consommateurs.

Il regrette que ce concept soit devenu une pompe à fric avec de multiples redondances d’associations pas toujours ‘loin s’en faut’ à la hauteur de leurs dossiers…Comme je le pense il admet qu’il s’agit souvent de garages pour sans emplois …Vous comprenez certainement ce que je veux dire ainsi que toutes les limites induites par ‘une certaine incompétence d’exécutants souvent néophytes, qu’il faudrait ens même auditer avant de les lâcher sur un dossier !

Je vois le mal partout ? Peut être… Je me pose tout de même la question de savoir comment avec 35% de surface certifiées PEFC on peut se trouver encore face à des entreprises d’exploitation ayant pour l’instant pignon sur rue déclarant ce que je ai rapporté dans mon premier message !

Vous connaissez les scieurs ET les marchands de bois ? Moi aussi …

Je me fais maintenant la réflexion suivante : Plutôt que de tenter de former des propriétaires qui, pour leur grande majorité, ont intérêt à bien gérer leurs propriétés ou petits lopins forestiers, même en faisant des erreurs (qui n’en fait pas ?!), ne serait il pas plus urgent et plus rémunérateur dans le temps et face aux concurrents de FORMER LES CONSOMMATEURS ?

En plus du votre j’ai reçu avec plaisir le message suivant provenant, comme vous, de deux vrais professionnels du monde forestier :

Bonsoir
Je comprends votre perception à l’aune de vos compétences et de votre savoir faire professionnel. Mais tout le monde n’a pas la chance que vous avez de pouvoir porter un jugement éclairé et pondéré dans ce domaine surtout lorsque l’on voit certaine enseigne, qui commercialise peut être à ce jour dans notre pays une très importante quantité de meubles, affirmer que demain 100% des produits qu’elle vendra sera certifié FSC et donc fera mourir toute une filière de production et de transformation puisque seul l’importation peut répondre à ce dictat.
Merci de cet échange sûrement trop court. Bravo pour le forum le bois notre énergie… sans faire de jeux de mot je pense qu’aujourd’hui je dirai plus tôt notre énergie pour notre bois surtout vu les pressions et les contraintes que beaucoup cherchent à lui imposer.

(Suite réponse de GRINDESEL)

Par contre il prend IKEA comme exemple d’entreprise à craindre si nous ne parvenons pas à offrir aux consommateurs Français des meubles certifiés PEFC ou FSC.

Je ne peut être d’accord avec cette vision ‘suiviste’ du savoir faire d’un industriel qui a laminé - et quasi détruit – une foule de savoir produire de vrais et beaux meubles, construits dans de vrais arbres identifiés et non à partir de plaquettes de bois déchiqueté dont le meilleur audit aura bien des difficultés à identifier la provenance , l’essence et tutti quanti tel que le préconise PEFC ! On peut toujours l’affirmer. Il est strictement impossible d’en apporter les preuves !

A ce jeu notre pays et ses traditions y perdent leur âme …le travail de nos enfants …et un débouché pour nos essences nobles ! La France en est le pays Européen le plus diversifié de plus en qualité mondialement reconnue.

Les consommateurs sont en partie responsables de cet état de fait déplorable en ayant adopté une mode lancée par des désigners, les médias …et l’idée que de l’autre coté de nos frontières et océans on rase gratis.

PEFC s’assoit en fait sur une vision mondialisée et industrialisée du bois. Pantins manipulés par des associations soit disant écologistes manipulant des budgets colossaux, pesants sans nuances sur les politiques forestières et les consommateurs de pays tout aussi différents que le Brésil et la France pour ne nommer que ces deux là.

Le monde forestier y perd son âme et les consommateurs leur boussole. Si les Français revenaient à leurs fondamentaux ?

Innovation et non copiage d’une idée de plus en plus écornée en terme d’écologie (IKEA) avec des intérêts financiers évidents pour ceux qui avaient tout intérêt à ce que les médias s’ empare de cet nouvelle idée marketing : le PEFC !

Dynamisme des entrepreneurs que l’excès de confort a gravement émoussé l’esprit d’initiative…au point que l’entreprise est devenue une annexe du politique !

Exploitation de NOS ressources autrement qu’en acceptant le fait de transformer nos superbes hêtres en bûches ou nos chênes de Tronçais en caisses à vins ! Les Français ont bien adopté le bambou pendant que les Chinois découvraient nos chênes ! En passant on peut signaler
qu’on a tout fait (certains …) pour ne leur livrer qu’une qualité secondaire …Le marché est devenu moins juteux !

Mr BOURDIER père, scieur de chênes à LURCY LEVIS 03 vient de décéder. Son fils va-t-il conserver en activité l’une des 2 ou 3 scieries de chênes restants en activité dans ce départements ? Pas sur…Il y en avait plus de 60 en 1967 !

Je pense que PEFC aurait pu être une bonne idée. L’idée est malheureusement une vue de l’esprit qui, comme toutes ces bonnes idées s’effondre lorsqu’elle est confrontée au bon sens.

Il aurait fallut concentrer les budgets sur la formation des clients à l’emploi de NOS bois. Certains l’ont compris. Ils sont dans le bon schéma : un schéma de différentiation capable de faire des émules au niveau international et de relancer nos ventes de produits QUE NE SAVENT FAIRE QUE PEU DE PAYS AU MONDE ! .

Avec le budget dégagé en abandonnant OU en transformant PEFC en machine à vendre NOS PRODUITS, car c’est avant tout le but urgent, qui peut nous dire ce que nos forestiers seraient capables de faire …Des merveilles comme le démontre les promoteurs du luxe Français !?

Je ne suis certainement pas le seul à rêver de voir se créer de vrais emplois à la place des emplâtres à la jambe …de BOIS proposés à une population exponentielle d’assistés sous prétexte d’une bonne action sociale et solidaire qui ne fait qu’enraciner trop de gens dans l’idée qu’il suffit de tendre la main pour se satisfaire de survivre !

Le prof de mon petit fils lui a dit cette semaine que médecin était un super métier : l’un de ses voisins et amis ne travaille que 3 jours et voyage le reste du temps !

Solidaire avec quelle finalité ? Sans grande imagination le résultat est connu.

Pour terminer ma pensée : Le forestier du dimanche, s’il le veut bien, à part le concept PEFC utilisant déjà les services du CRPF et autres administrations dispose de plusieurs méthodes tout aussi performantes ? CRPF / COOPERATIVES / ENTREPRENEURS FORESTIERS / EXPERTS / ONF / CTB et combien d’autres ? Le m3 aidé coûte certainement très cher !

Vous pouvez bien proposer mille experts : en final et jusqu’à preuve du contraire le forestier PRIVE est bien toujours maître chez lui ?

Jusqu’à quand ?

Vous dites ‘ La FNB monte au créneau pour dire qu’il n’y a pas assez de bois PEFC sur le marché’ !

Peut elle réellement fournir des chiffres permettant de démontrer cette affirmation que je n’ose pas qualifier d’hypocrite. Sur ce sujet il faudrait lancer un autre débat ou l’omelette risquerait d’être à mettre sur le livre des records !

Défenseur de la veuve et de l’orphelin pourquoi pas, Kamikaze non !

Très cordialement et bonne soirée.

GRINDESEL le 08 02 2013

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MessageSujet: Merci d'avance pour vos témoignages !   PEFC et FSC troublantes similitudes avec la viande de cheval EmptyVen 8 Fév - 23:47

Bonsoir

Merci de votre message constructif sur PEFC, je pense que vous auriez du finir par quittez cette certification pour choisir la vrai celle qui défend l’intérêt du propriétaire gestionnaire de sa forêt FSC enfin une démarche où vous êtes audités avant d’être agréé et ou vous n’avez pas le droit de vous exprimer

cordialement

REPONSE DE GRINDESEL

Bonjour,

Merci pour votre réponse. Je pense plutôt ne pas renouveler mon adhésion à PEFC ni m’inscrire à FSC. Je n’en vois pas ni l’utilité ni la justification dans notre pays. De plus j’ai l’orgueil de penser que mes 58 ans de vie professionnelle dans ou proche des bois me permettent de juger que j’en sais assez sans prendre le risque d’apporter de l’eau aux moulins d’activistes qui ne rêvent que d’abolir la forêt privée !

C’est dans cet esprit de liberté de parole que j’interviens comme webmaster sur le forum LE BOIS NOTRE ENERGIE sur le site de www.gfservices.fr sous le pseudo de GRINDESEL. Vous y trouverai un site qui vient de dépasser son million de visiteurs.


Cordialement.



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MessageSujet: SCANDALE DES CERTIFICATIONS ? Possible ...   PEFC et FSC troublantes similitudes avec la viande de cheval EmptyDim 10 Fév - 18:23



Le scandale de ce début Février 2013 de la viande de cheval vendue en lieu et place de la viande de bœuf vient m’aider à étayer ma pensée.

A mon sens il rejoint mon constat sur la fructueuse idée qu’ont développées PEFC et FSC, aidés en cela par des associations mondialistes en recherche de financement juteux , cherchant à mettre en place une certification mondiale capable de leur donner un pouvoir colossal sur les différents intervenants, pouvoir essentiellement construit sur le concept d’une chaîne dont la solidarité ne tient qu’à la peur des professionnels de perdre un marché face à celui de consommateurs de plus en plus conditionnés par l’idée que le monde court à sa perte si on n’en régule pas les marchés et les pratiques ‘capitalistes’ !

C’est ainsi que nos produits manufacturés se parent d’étiquettes dont le but désormais atteint, était de déresponsabiliser les consommateurs.

Tout le monde il est beau il est gentil !

A la lumière de ce scandale annoncé par les médias la veille ou je décidai enfin d’écrire mon point de vue sur la certification ‘des bois’ l’on est en droit de se demander ou est la frontière entre les gens sincères, abusés par ce concept et ceux en bénéficiant à différents niveaux, les filières habituelles de trafiquants étant toujours prompts à exploiter les faiblesses de la naïveté humaine !

Comme toujours, le consommateur ne voit que la pointe d’un iceberg provenant d’une vaste banquise comme chacun sait immergée …mais ne concernant qu’une foule anonyme jusqu’au jour ou !

Un arbre certifié ressemble en tous points à un arbre provenant d’un bois non certifié. Aucune analyse ne peut les différencier. Ca n’est pas le cas pour la viande surtout lorsqu’elle provient d’une race différente. Et pourtant, le risque de tromperie, voir plus, est similaire.

Pour les arbres, même en changeant d’essence, la difficulté subsiste. Malgré toutes les précautions, qui peut garantir la qualité absolue des concepts PEFC et FSC autrement que sur le papier avec l’illusion que les nouvelles technologies sont ses alliés? La part, le savoir et les technologies à la portée des hommes de terrain, tout comme leur volonté, sont encore primordiales pour assurer une chaîne de qualité.

Nous sommes loin, très loin, de l’artisanat des années 1950/1970 ou le petit scieur local recherchait LA belle bille de chêne, merisier, noyer pour la proposer au menuisier et fabricant de meubles régional.

Ces belles billes sont devenues invendables car plus aucun professionnel ne veut perdre son temps et son argent à les exploiter ! D’ailleurs il les vendrait à qui ?! Plus personne n’achète un meuble massif. Les meubles vivaient trop vieux !

Le pouvoir financier d’une firme Nordique mondialement connue annonce garantir que ses meubles en bois déchiquetés et collés sont produits à partir de forêts GLOBALEMENT certifiées, ou le travail de l’homme est curieusement le moins cher et leurs compétences encadrées par d’intègres certificateurs .

Aux alentours des années 2000 elle avait construit – ou l’un de ses émules - une usine gigantesque en Pologne, hyper mécanisée …entourée de deux grillages de 2,50 m de haut et d’un gardien à l’entrée… Je n’ai pu y entrer ni m’empêcher de penser à une bien triste et récente époque vécue par ce pays si chaleureux, si travailleur chez qui j’étais parti tenter de vendre les matériels de scieries d’occasion des 3 scieries par semaine qui fermaient leurs postes en France, dans les années 1990/2000. Leurs entreprises nationales étaient misérables. Cette entreprise laissait entrevoir une nouvelle forme de colonisation…

Comment ce genre d’usine peut elle garantir qu’à partir de la certification d’une vaste parcelle forestière chaque arbre la composant soit bien exploité en respectant scrupuleusement un cahier des charges que chaque professionnel ( ?) ne reconnaît pouvoir les appliquer que sous réserves de conditions d’exploitation tributaires d’une foule de facteurs ou l’idéalisme, dans une forêt, est une notion plus qu’aléatoire - donc incontrôlable - quand on sait qu’un certificateur se plait généralement mieux dans un bureau que sur le terrain !.

L’exploitant forestier est donc interdit de se faire prendre en défaut (s) sous peine d’être rayé de la liste des partenaires de son principal client ! Il doit se certifier lui-même ! Il se garde surtout de ne pas chanter ses difficultés sur les toits ! Il paie une cotisation …pour le droit de se taire et en fournit une copie à son client. Point barre.

Etonnez vous de voir le coût de la vie augmenter plus vite que la réalité.

Les professionnels ne manquent pas d’exemple pour illustrer mes propos. Il ne leur manque que le bon sens pour continuer de tolérer qu’on leur demande d’appliquer des cahiers des charges auxquelles ils ne peuvent pas satisfaire ‘à des degrés divers’! Mais que peuvent ils faire en étant parties prenantes d’un système conçu en boucle ?

C’est mon point de vue. A part quelques rares contrôleurs payés pour certifier et qui ne font que passer sur les chantiers qui peut me contredire sans tomber dans le déni et l’hypocrisie ?

Certainement pas ceux qui ont en charge d’essayer d’appliquer des règles ou la théorie et la pratique ne peuvent pas toujours cohabiter. Alors quand vous y ajoutez certaines tentations …ou les astuces sont connues depuis la nuit des temps !

A ce jeu, si tant est que s’en soit un, les populations ne se sont pas aperçues qu’elles avaient – et qu’elles sont toujours - été manipulées.

En peu d’années nous avons assisté à l’effondrement de l’artisanat et à une foule de valeurs professionnelles qu’il serait trop long d’énumérer sous peine d’être qualifié de rétro ! La encore une prouesse du concept de certifications !

Les compagnons du devoir sont devenus un témoignage des temps perdus…ou chacun savait encore que l’excellence fuit au fur et à mesure que l’on tente de s’en rapprocher.

Vive les mégas usines et magasins de meubles normalisés, codifiés, aseptisés, mondialisés camouflant la misère de gens nobles devenus en quelques années des manœuvres de temps modernes renouvelés!

Combien ont tentés de s’opposer à cette nouvelle philosophie du bienfait imposé par quelques uns alors qu’ils ne proposaient que leur travail bien fait fruit de leurs compétences ancestrales ?

Ces compétences ancestrales n’étaient elles pas quelque part industrialisables et capables de devenir le savoir faire du ‘luxe Français’ ? La France n’a quasiment plus de fabricants de meubles autres que des copies de savoirs faire étrangers !

Serions nous l’un des derniers pays à penser que le soleil brille plus fort dans les autres pays …alors que ces pays riches ou pauvres viennent en masse alimenter la balance commerciale de l’un de nos derniers fleurons ‘industriels’ : le tourisme, lui-même de plus en plus normé, aseptisé, subventionné, politisé, mondialisé, socialisé et visitent nos musées pour s’extasier du génie Français du meuble !?

Il n’est pas question, dans ce message, de jeter l’eau du bain avec toutes les certifications ! La démarche est honorable. Le résultat n’est pas à la hauteur de l’attente. La cible n’est pas la bonne.

Si la forêt Française est mal entretenue c’est parce qu’on ne sait pas vendre nos produits made in France. Un seul exemple caractéristique : nos parquets, à une certaine période, ont voulu se vendre exempts de nœuds !

Résultat : Un gaspillage de matière première colossal, un prix au m2 carrément dissuasif, la porte ouverte au début de l’abandon du chêne massif et autres essences…

L’idéal a toujours un petit goût de déception. Doit on pour autant accepter l’imperfection au point de perdre le goût de l’excellence et du mea culpa ?

GRINDESEL le 10 Février 2013
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MessageSujet: Les ccopératives certificateurs PEFC de leurs travail ?!   PEFC et FSC troublantes similitudes avec la viande de cheval EmptyDim 10 Fév - 19:39


Critiques du label
Des coopératives forestières ont tenté de mettra en place, via leurs services, un système permettant de certifier le bois sans que le propriétaire soit réellement informé de la démarche PEFC !
Son adhésion à ce nouveau système se ferait ainsi sans engagement écrit de la part du propriétaire.
Au-delà du fait que ce système déroge clairement à la norme PEFC on peut s'interroger sur la crédibilité d'une organisation dérogeant elle-même à des règles qu'elle ne s’applique pas toujours – ou ne peut appliquer …- avec la rigueur qu’elle annonce dans ses différents documents et courriers !
PEFC France ne communique pas sur ce sujet.
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MessageSujet: COGITATION AU SOMMET D'UN ARBRE    PEFC et FSC troublantes similitudes avec la viande de cheval EmptyLun 11 Fév - 19:26


L'humanité serait depuis longtemps heureuse, si tout le génie que les hommes mettent à réparer leurs bêtises, ils l'employaient à ne pas les commettre.

George Bernard Shaw

...et si les hommes de talents et en mal de notoriété mettaient tout autant d'énergie à nourrir les hommes qu'à nous faire croire que sans eux le monde forestier court à sa perte!
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