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Ca n'est pourtant pas le matériel qui manque !Réponse de GRINDESEL à l’article ci-dessous Energie : la France ne récolte pas assez de bois pour ses projets de centrales à biomasse
LE MONDE | 11.02.2013 à 10h44 Par Hervé Kempf
L’accès à la totalité de l’article est protégé 1. Energie : la France ne récolte pas assez de bois pour ses projets de ...
www.lemonde.fr/.../2013/.../energie-la-france-ne-recolte-pas-assez-de-bois-pour-ses-projets-de-centrales-a-biomasse_1829909_3244.html
LE MONDE | 11.02.2013 à 10h44 Par Hervé Kempf ... Le projet, porté par la société Erscia, doit fournir des granulés de bois à une centrale électrique à ...
AVERTISSEMENT de GRINDESEL:
L’accès à la totalité de l’article étant protégé et répondre sur LE MONDE étant payant GRINDESEL laisse au lecteur le soin de se rendre de lui-même sur le site référencé ci-dessus. Il se borne à vous livrer son simple point de vue, en quelque sorte 'son droit de réponse' Hervé KempfDepuis le 4 février, des écologistes s'opposent, dans la forêt de Tronçais, à Sardy-lès-Épiry (Nièvre), à un défrichement entrepris pour laisser place à une grande scierie industrielle.
Réponse de GRINDESELDès le départ cet article ne peut que créer une confusion dans l’esprit des lecteurs non avertis.
En effet, une scierie est une entreprise dont l’objectif premier est de transformer des grumes de qualité en sciages …et non en bois énergie comme le laisse supposer le titre de cet article. Hervé KempfLe projet, porté par la société Erscia, doit fournir des granulés de bois à une centrale électrique à biomasse en Belgique.
Réponse de GRINDESELPour la bonne compréhension du dossier ERSCIA il faudrait préciser ce qui suit :
Les sous produits générés par toute scierie : écorces / sciures et chutes de bois représentent en gros, lors de sciages résineux ce qui est l’objectif d’ERSCIA, plus ou moins 50% du tonnage global entrant dans une scierie.
Le prévisionnel d’ERSCIA annonce 500 000 m3 annuel de grumes entrantes. Pour simplifier cela donnera un tonnage global d’environ 450 000 tonnes bruts donc 225 000 tonnes de sous produits.
Les écorces (10 % du tonnage brut) ne pouvant être transformées en granulés le solde des sous produits disponibles pour cette fabrication sera donc d’environ 200 000 tonnes.
Sur ces 200 000 tonnes directement générées par la récupération des sous produits sciures de la scierie, un petit tiers sera disponible de suite en sciure et le solde après grossier déchiquetage et transformation en sciure au cours d’une opération appelée affinage, gourmande en énergie …ce qui explique en partie le surcoût de la calorie de ce combustible bois moderne.
Les 40 à 50 000 tonnes d’écorces alimenteront la méga chaudière dite de cogénération (chauffage et production d’électricité). Ce tonnage ne sera pas suffisant pour alimenter cette chaudière.
ERSCIA achètera donc à l’extérieur des bois de qualités correspondantes. Ce seront, entre autres, des bois sains : Bois de récupération, taillis de feuillus et chutes forestières toutes essences y compris celles que l’on a pour habitude de laisser sur place pour améliorer les sols forestiers et réduire le risque d’érosion des sols …Certains craignent d’autres provenances …
Un très important tonnage du combustible de catégorie BOIS ENERGIE devant alimenter la méga chaufferie ERSCIA ne proviendra donc pas de sa méga scierie…
Une part pourrait être achetée ‘aux scieries alentours’…tout au moins tant qu’elles pourront résister au monopole en termes de gigantisme et démesure industriels auxquels elle prétend!
Le tonnage de granulés a été annoncé à 250 000 tonnes annuel. Pour les produire à partir d’une base sciures vertes le tonnage entrant devra être d’environ 450 000 tonnes. Il faut en effet disposer de près de deux tonnes de sciures vertes pour produire une tonne de granulés.
Si l’on veut bien revenir sur le tonnage qui sera disponible en sciures vertes en sortie de scierie celui-ci sera de l’ordre de 200 000 tonnes…Il manquera donc 250 000 tonnes de sciures…toujours vertes pour produire les 250 000 tonnes de granulés SECS ! Vous suivez ?
Erscia n’a jamais précisé le tonnage global de bois de qualité BOIS ENERGIE qui lui manquera en auto production :
1/ Pour alimenter sa méga chaufferie car 50 000 tonnes d’écorces n’y suffiront pas.
2/ Pour fournir 250 000 tonnes de granulés SECS à ELECTRABEL en ne disposant que de 200 000 tonnes de sciures vertes ne pouvant produire que 100/120 000 tonnes de granulés.
Il ne s’agit pas d’un débat anodin ! Cette question est posée depuis 6 à 7 ans…et n'a jamais reçue une réponse claire.
Hervé KempfSelon les opposants, soutenus par la fédération d'associations France Nature Environnement, le projet est démesuré et pompera tout le bois disponible des régions alentour,
Réponse de GRINDESELToute la filière bois exprime plus ou moins le même avis mais n’utilise pas les médias pour le faire savoir ! Elle devrait ? Elle ne dispose pour cela ni des mêmes moyens financiers ni tout simplement du temps disponible. Les entreprises concernées par ce dossier ne font parties que d'une très petite minorité de la filière et ne sont pas, loin de la, des multi nationales. L’ensemble des professionnels de la scierie est interpellé. Chacun d’eux sait très bien ce que l’expression ‘les arbres ne montent pas jusqu’au ciel’ veut dire! Cette conviction et cette position n’est pas très compréhensible par le commun des mortels…Ainsi vont les pros ! Ces gens là croient au BON SENS et sont encore convaincus qu'il nous gouverne encore ...
Hervé Kempf… empêchant des usages locaux pour des chaufferies communales et ruinant des petites scieries.
Réponse de GRINDESELCes deux points sont, à juste titre et au niveau national, très inquiétant. L’usage local et régional du BOIS ENERGIE dans des unités raisonnables se conçoit fort bien compte tenu que ce combustible ne peut supporter un coût élevé de transport. Quant à la ruine d’une multitude de scieries (pas spécialement petites) le cycle est déjà très fortement engagé.
Il faut reconnaître que certains n’ont pas mis beaucoup de passion pour l’éviter. La plupart qui se sont ou vont s'arrêter se trouvent confrontés à des problèmes classiques de succession. Leurs enfants ont fait des études et n'ont aucune envie de prendre la suite de parents ignorants les 35 h et souvent les 5 semaines de congés payés!L’arrivée de Erscia pose clairement le choix du niveau d’industrialisation compatible avec l’idée que l’on veut projeter d’une société à échelle humaine …ou pas.Il s’agit donc d’un sujet qui transcende la philosophie actuelle du tout tout de suite …pour seulement quelques uns !Vaste débat qui s’accélère et laisse entrevoir d’intolérables situations de non retour sous prétexte de fumeuses théories du genre ‘défense de l’emplois’!
Hervé KempfErscia est soutenue par les élus locaux, dont le député (PS) Christian Paul, qui a rencontré le ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg, à ce sujet, le 5 février. Pour eux, il s'agit de développer une énergie renouvelable tout en créant 120 emplois.
Réponse de GRINDESELDans le petit monde l’on dit que ‘certaines personnes sont prêtes à bouffer leurs chapeaux pour faire passer leurs idéologies’. Le Monde.frLe Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr. Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous abonnant à partir de 1€ / mois | Découvrez l'édition abonnés
Réponse de GRINDESELJe suis d’accord pour cette offre …sous réserve que le Monde devienne un monde d’ouverture à toutes les idées et débats de bon sens, ou le politique AU SENS NOBLE redevienne un débat de société et non l’art de se faire valoir…
Hervé KempfLa polémique est révélatrice de la difficulté de la filière bois-énergie à prendre son essor. Réponse de GRINDESEL
Qui parle de polémique sinon celui dont le corporatisme l’aveugle ? La filière BOIS ENERGIE existe depuis la nuit des temps.Le bois énergie BUCHE est toujours apprécié et pollue de moins en moins …s’il est consommé SEC. Il a donc encore un bel avenir pour ceux , entre autres raisons, qui ne craignent pas l’activité physique.
Le bois énergie PLAQUETTE – ou bois déchiqueté – n’est que du bois bûche transformé en copeaux ce qui a permis de moderniser, au moindre prix, un BOIS ENERGIE rétro en BOIS ENERGIE consommable en automatisme intégral au même titre que le gaz, le fuel ou l’électricité.
Tout simplement et avec l’odeur du bois et le bénéfice d’être renouvelable.
Le tout pour un coût deux à trois fois plus faible ce qui est incroyable et …curieusement méconnu!Il convient particulièrement bien aux chauffages de vastes maisons individuelles comme à celui de petits et moyens bâtiments collectifs et administratifs et autres cas particuliers (ateliers, salles communales, églises et j’en passe)Le bois énergie GRANULES – fait de sciures compactées récupérées lors de sciages de bois nobles ou à partir de billons de qualités inférieures – est lui aussi consommable en automatisme intégral au même titre que le gaz, le fuel ou l’électricité (ou la plaquette brute…confondue à tord avec le granulé) .
Malgré un surcoût DEUX FOIS PLUS ELEVE engendré par sa fabrication industrielle, ce dernier combustible bois énergie arrivé sur le marché Français début 2000 bénéficie d’un phénomène de mode et de certains atouts le rendant bien adapté aux critères d’habitats en périphérie des grandes villes et dans l’habitat social.En cas de besoin et de possibilités logistiques et suivant le type de chaudière retenue,
ce combustible peut être avantageusement mélangé avec des plaquettes …
Dans ce cas le consommateur doit s'équiper d'une chaudière à plaquettes car conçue en ce sens ce qui n'est pas le cas d'une chaudière 100% Granulés. Hervé KempfComme l'a constaté le Conseil général de l'alimentation, de l'agriculture et des espaces ruraux dans un rapport publié fin 2012, les appels d'offres pour la création de centrales à biomasse lancés par le Conseil de régulation de l'énergie n'ont été que très partiellement satisfaits : moins de 400 mégawatts électriques (MWe) installés début 2012 contre 750 MWe souhaités.
Réponse de GRINDESELLe BON SENS se réjouit de ce constat ! Les volumes unitaires consommés par chacun de ces projets peuvent faire craindre certains excès méritants un autre débat ! Le bois énergie devrait rester le choix du bon sens et de la gestion raisonnée de nos ressources.
Hervé KempfPourtant, le bois est la première énergie renouvelable en France. "Le Grenelle de l'environnement prévoyait que les énergies nouvelles apporteraient 20 millions de tonnes équivalent pétrole supplémentaires en 2020, rappelle Damien Mathon, délégué général du Syndicat des énergies renouvelables. Le bois est censé en assurer 40 %."
Réponse de GRINDESELNous ne sommes qu’en 2013 . Par contre il conviendrait de ne pas gaspiller une ressource naturelle qui, bien que renouvelable et bénéficiant, en France, d’un climat et de conditions forestières favorables ne doivent pas pour autant inciter nos technocrates à préconiser n’importe quoi sous prétexte de démonstrations technologiques cogitées et financés par des mégalos.Il est clair que nous sommes techniquement en possibilité d’aller sur la Lune. Certains sont capables de signer le chèque correspondant …Doit on pour autant laisser croire qu’il suffit de se présenter comme partisan de la modernité pour ridiculiser celui qui doute de sa faisabilité et se parer du SAVOIR ? Hervé KempfLe potentiel forestier est important et sous-exploité. La forêt couvre 28 % du territoire métropolitain et s'accroît de 75 000 hectares par an, selon l'Inventaire forestier national. Près de 60 % de l'accroissement naturel est prélevé chaque année.
"LA FORÊT N'EST PAS UN MARCHÉ" FINANCIERMais, pour accroître le prélèvement, il faut aller sur des terrains moins accessibles, créer de nouvelles pistes, mécaniser la coupe. Or, comme l'observe Christophe Chauvin, chercheur à l'Institut national de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture, "le bois est une ressource limitée déjà largement exploitée, donc soumise à une loi de rendements décroissants. Même s'il y a encore des marges de manœuvre, les coûts seront croissants à mesure qu'on s'approchera des limites du système".
De surcroît, la structure forestière ne facilite pas ce développement : le bois énergie, déjà important, provient surtout des déchets de scieries.
Il faudrait maintenant consacrer des superficies à l'usage spécialisé de fourniture de combustible, ce qui suppose une exploitation industrielle.
"Il reste un gisement important dans les forêts privées, qui représentent 75 % de la superficie forestière, analyse Sylvain Léonard, de l'Office national des forêts.
Mais elles appartiennent à 3,5 millions de propriétaires, souvent sur des surfaces très petites, alors qu'il faut 25 hectares pour commencer à gérer une forêt."
Réponse de GRINDESELPrésentations globalement de qualité et auxquelles tout professionnel peut souscrire bien que l’essentiel du volume disponible en bois énergie ne provienne pas des ‘déchets de scieries’ !L'essentiel provient de la forêt Française elle-même via les importants volumes disponibles en grumes de qualités inférieures et autres taillis, bois de haies et d’agréments etc ! La aussi c’est un autre débat qui n’a rien à voir ou si peu avec le projet Erscia.Le problème n’est pas de savoir ce ‘que la forêt Française peut fournir’ c’est ‘quel volume peut elle exploiter et (Bien) vendre’ …qui seul pose problème ! Hervé KempfAutre obstacle, le caractère "pluri-usages" des forêts : celles-ci ne sont pas seulement une réserve de bois de chauffe, mais aussi de bois d'œuvre, un lieu de promenade et de chasse, une réserve de biodiversité.
Nombreux sont les forestiers qui s'opposent à une vision purement énergétique : "Une forêt tournée vers la production implique des coupes massives, un raccourcissement des cycles d'exploitation, des pistes forestières tous azimuts et, derrière ça, la plantation de résineux – un peu comme en Indonésie, où les palmiers à huile remplacent la forêt naturelle", estime Sébastien Hesse, du collectif SOS Forêt-CGT environnement.
Réponse de GRINDESELA part l’argument simpliste sur ‘les plantations de résineux’ .
Pourquoi ne pas s’opposer aux agriculteurs et à leurs énormes plantations de choux fleurs, carottes ou poireaux rasées chaque année et ne pas s’étonner qu’il existe tant de jardins ouvriers ?Curieuse version d’une forêt d'où l’exploitant – et non l’exploiteur - devrait être banni. Pourquoi les villes n'ont elles pas été édifiées ...à la campagne ?
Hervé KempfTout cela explique les difficultés à développer à grande échelle le bois énergie – à moins de recourir à du bois importé, comme le prévoit l'énergéticien E.ON pour la centrale de Gardanne (Bouches-du-Rhône).
Réponse de GRINDESELUn bis répétita ERSCIA ! On ne parle ‘que de difficultés à développer à grande échelle le bois énergie’ ! Qui sait parler des difficultés à le vendre et y gagner ‘sa vie’ ? Hervé KempfOu de compter sur le déclin de l'industrie papetière : "Les papeteries consomment beaucoup plus de bois que les centrales à biomasse", rappelle Sylvain Léonard.
Réponse de GRINDESELExact ! C’est sur cette hypothèse que semblent travailler les tenants du développement industriel de la filière bois énergie et poussent la création de centrales de co génération toutes plus mégalos l’une que l’autre et une multitudes de projets sur les applications modernes de la chimie du bois … C’est à celui qui renchérira le plus !
Quant à s'inquiéter 'd'une perte d'emplois' c'est un autre faux débat qui devra bien un jour se nouer ... Un emploi = Un client en face le reste n'est que MALHEUREUSEMENT bavardages.
Hervé KempfDeux modèles semblent s'opposer : un modèle industriel avec des grandes unités produisant électricité et chaleur et s'appuyant sur de vastes plantations standardisées ; ou un modèle décentralisé, où les ressources seraient mises en œuvre par des petites unités, telles les chaufferies communales.
Réponse de GRINDESELUn raccourci surprenant ou la démesure n’inquiète curieusement plus personne ! Comme si toujours plus devenait ‘banalplus’ ! Un mot qui devrait rentrer dans notre dictionnaire ?
Il faudra bien, un jour, fixer des limites à la démesure industrielle ?!Nos politiques, friands de légiférer sur tous sujets, seraient bien inspirés de nous pondre des lois et décrets pour que le RENOUVELABLE ne risque pas d’être, un jour prochain, un mot qui aura disparu de certains dictionnaires…
Hervé KempfDeux logiques qui ne peuvent avancer au même rythme : "La forêt n'est pas un marché, qui demande des réactions rapides au prix et à la demande, explique Christophe Chauvin. Elle demande une programmation et des investissements de long terme. C'est un autre rapport au temps."
Réponse de GRINDESELJ’ajouterai ce qui suit à ce paragraphe plein de bon sens – Dieu merci il en existe encore :
Le patrimoine forestier Français est soit disant ‘énorme’ ! Il serait de bon sens de réaliser qu’il est constitué à plus de 60% par des feuillus, essences de moins en moins utilisées sur le plan mondial, (sauf en bois énergie) et seulement 40% par des résineux, essences dont le commerce – ET LE PRIX - s’est mondialisée sans pour autant être très rémunérateur !Les 8 millions d’euros de déficit en valeurs SCIAGES de notre balance commerciale – et non 6 milliards généralement annoncés, générés par l’ensemble des filières bois et non que la seule filière scierie– n’autorisent pas ERSCIA et son directeur à laisser croire à leurs lecteurs à ce point de détail et valoriser ainsi leur projet à des esprits se satisfaisant d’une belle présentation médiatique.De plus, l'initiateur du projet, spécialiste de l’utilisation massive de bois d’importation du temps ou il était constructeur de maisons bois, ne peut passer impunément sous silence les raisons principales de ce déficit :- Qualités exceptionnelles des bois n’étant pas uniquement liées au fait qu’en France ‘aucune entreprise n’était ou n’est encore capable d’en proposer à ce niveau ‘…mais au fait que les bois sur pieds sont, globalement, de qualités sensiblement inférieures.
Pour l’amélioration de cette qualité – c’est en cours – il y faudra deux à trois générations de forestiers et non se suffire à le dire et l'écrire ! Si les opposants leur en donne les possibilités…- A qualités supérieurs et livraisons plus homogènes prix et conditions compétitives.
- Les réponses ci-dessus sont archi connues de tous les utilisateurs de bois ! Comment se fait il que l’on donne encore du crédit à l’idée qu’on ne sait pas vendre nos produits nationaux ?!
Nos industriels scieurs savent vendre les produits …qu’ils peuvent produire ! Pour les autres c’est la concurrence mondiale qui s’applique et c’est le consommateur qui décide.
Le producteur ne peut souvent faire autrement que s’adapter à ses caprices. C’est ainsi que les nœuds ont disparu dans les bois …ce qui a renchéri le prix des meubles et du parquet dit 'traditionnel'. Du coup les professions concernées voient leurs marchés s'effondrer!La filière ‘scierie Française’ a relevé ce défi. De multiples signes en attestent. La création du site ERSCIA ne fera que dupliquer le savoir faire actuel de nombreuses entreprises Françaises. Les Belges n’ont rien inventé. Les technologies modernes s’achètent et se dupliquent dans le monde entier.
Erscia introduira plusieurs éléments perturbateurs dans une situation ou tous les paramètres professionnels sont à l’opposé de la vision monopolistique affichée par ERSCIA sous couvert d’une subtile injection d’arguments écologiques et économiques qui n’ont pas manqués d’être dénoncés par différents groupes. Trop d’excès engendrent parfois son effet contraire …
Quand il n’y aura plus ni artisans ni PME /PMI à échelle humaine dans ce monde dit moderne …nous aurons perdu notre âme!Le Morvan , comme toute région Française se doit d’accueillir des entreprises. Encore faut il en mesurer le VRAI prix.
GRINDESEL le 25 02 2013 - grindesel.forumactif.fr : NOUVEAU SITE PERSONNEL
Dossier Revu et complété le 30 12 2014 et le 02 02 2015