ET SI VOUS VOUS CHAUFFIEZ AVEC DES SARMENTS DE VIGNES ? MELANGES AVEC DES PLAQUETTES C'EST PARFAIT ET BON MARCHE ! Sujet: GRINDESEL passeur de bacs, brasseur d'idées... et broyat de pieds de vignes... En réponse à LOULE (?) ayant découvert mes interventions sur un forum se disant réservé aux 'scientifiques' de tous bords.
Au sujet de savoir si l’on peut se chauffer avec des broyats de pieds de vignes pouvant être parait il pollués par quelques décennies d’arrosage aux produits dit chimiques sans « polluer soit même ou/et les voisins »... ou s'inquiéter des dégâts annoncés du soit disant réchauffement climatique planétaire en cours... Autodidacte bac moins quatre – je n’ai utilisé qu’un bac en aller retour : celui allant de Royan à la pointe de Grave en Gironde (France). Je ne suis pas chimiste : je suis du genre à faire confiance à ces spécialistes car, vous l'avez compris, partisan du moindre effort je ne me suis pas laissé poursuivre par les études.
Je réponds donc que je ne sais fichtre rien si ce sont les plaquettes ou le sol dont il faut se méfier ! La demande de ce lecteur, du coup, trouble la certitude que j’avais encore hier soir à 22 heures quand je me suis couché.
A quatre heures ce matin je me suis levé pour mettre sur papier, puis dans ‘maboitequisaitout’, mes réflexions nocturnes et insomniaques. A le lire, tout au long de mon demi-siècle de vie déjà bien dépassé, j’ai dû déguster, un certain tonnage de divers produits issus de la science des hommes et non des dons du ciel ou de la terre.
Je bois et déguste chaque jour un ou deux verres de vin de Bordeaux qui n’ont pourtant pas l’air d’avoir été pollués par les pieds de vigne. Il me semble même que cette habitude tanne un peu mes artères…
Nos anciens les Gaulois, et pourquoi pas
les contemporains de LUCILE, parait-il morte à 17 ans, ont eu la chance de mourir à une moyenne d’âge leur ayant donné le bonheur de parvenir à l’état de momie bien conservée- ou de poussières- quelques siècles ou milliers d’années plus tard, avec l’assurance d’avoir gagné à posteriori,
le paradis des souffrances catholiques soit disant expiatoires. Donc, le corps bourré de produits divers parfois absorbés à mon insu, je veux bien le croire, bien que pour l’instant sans problème récurrent identifié, j’espère désormais mourir au moins centenaire…. et en bonne santé. Grâce à la science une belle mort est désormais envisageable au train ou on s’occupe de notre santé ! Comme un pourcentage semble-t-il croissant de mes contemporains vivant ou survivant dans des pays dits évolués, je vais bientôt faire partie de ces vieux recherchant une place introuvable dans une maison adaptée et aseptisée. Ayant vieilli trop longtemps, j’y vivrai, étonné et furieux de m’être trompé de siècle, ma dernière expiation religieuse pour avoir trop bien vécu… après avoir lu et entendu pendant des années ‘qu’antan on vivait beaucoup mieux’ !(?) Pour ma part et pour l’instant, je préfère être né dans cette période… Je ne tiens pas à me faire arracher une dent sans anesthésie! Le peu de culture acquise au cours de mes lectures m’a laissé comme l’impression qu’antan était plutôt l’enfer que le paradis lorsqu’on mourait édenté à 17 ans – comme LUCILE- , et je passe sur les effets induits, probablement plus handicapants que les quelques douleurs qui commencent à m’assaillir et que je soigne en m’empoisonnant à dose homéopathique si je vous comprends bien ?
A mon âge, combien de temps pensez vous que je puisse durer sans me transformer en cendres ou en pollueur de cimetières puisque vecteur de dangereux résidus chimiques? D’innombrables anciennes maisons bourgeoises dans lesquelles leurs anciens propriétaires ont consommés des produits dits naturels- à l’époque les tomates poussaient bien sur les tas de fumier !? Elles poussent d’ailleurs toujours bien.
La sélection ‘artificielle’ des plants est passée par là.
Nourris d’aliments exempts d’OGM, ces braves et souvent jeunes personnes sont partis rejoindre la félicité ou l’enfer, en hurlant dans des souffrances « normales » ou en serrant leurs gencives édentées pour partir dignement, sanctifiés mais rarement centenaires. Ces maisons ont été, depuis, pour la plupart aménagées en confortables cases pour futurs ou actuels centenaires, maintenus en vie en bouffant, excusez, en étant soigneusement soignés avec des produits expurgés des saloperies que LUCILE ou VERCINGETORIX et ses gaulois dégustaient sans en connaître leur nocivité et des pesticides de notre siècle.
Ces heureux locataires, aseptisés, en fin de vie codifiée par d’innombrables lois ou décrets dits de précaution, ne risquent plus rien! Propres et heureux, non pollués ni pollueurs!? D’autres anciens, de plus en plus nombreux et de plus en plus ‘vieux’, déclarent qu’ils iront les rejoindre dans leurs retraites dorées et maternées « quand ils en auront l’âge », après avoir usé leur camping-car, leurs hobbys de prédilection, cassé leur quad,
en attendant de casser leur pipe en pleine santé, peut être un jour en arrivant sur une plage idyllique, excellente préparation, à mon avis, à des vacances éternelles, « dites bien méritées »… par ceux qui restent.
En final, je me demande où est l’intérêt d’affoler une population que l’on dit et constate « aussi avancée », pour la faire revenir à ces époques où l’on se disait au revoir ‘le dernier jour’ … quasi qu’à soi-même, sans avoir connu ni même imaginé le monde dit moderne et parait-il pollué du futur.
Les produits manufacturés actuels sont pourtant fabriqués avec des matières de base présentes de tous temps dans et autour de notre bonne vieille terre? Quelle est la différence ? S’être laissé tenter de les utiliser comme Eve d’avoir croqué la pomme ? L’histoire depuis un certain temps.
Quelqu’un peut-il m’expliquer ? Les produits existaient bien avant quelque part sur cette terre !? Ils ne sont pas arrivés par génération spontanée. Auraient ils été stockés sur notre bonne terre comme décharge universelle?
Je me recouche pour y réfléchir... dans mon bac virtuel. GRINDESEL passeur de bacs, brasseur d'idées. 10 03 2013