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 GRANULES : les écrits restent la parole s'envole...

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GRINDESEL
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GRINDESEL


Nombre de messages : 843
Localisation : Commelle Vernay
Date d'inscription : 21/03/2007

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MessageSujet: GRANULES : les écrits restent la parole s'envole...   GRANULES : les écrits restent la parole s'envole... EmptyLun 12 Nov - 17:32



GRANULES : Peut-on croire au sérieux de certaines NEWLETTER

GRANULES : Ce qui se disait fin 2008 sur une des rares newsletter traitant du marché du granulé de bois ‘domestique’ (norme NF). (hors granulés industriels de qualité inférieure contenant un porcentage d'écorce incompatible avec la norme NF)

NEWLETTER

- La capacité européenne totale : environ 14 millions de tonnes de granulés.

Réponse de GRINDESEL

J’estime que la quantité de sciure exploitable donc provenant des scieries situées en Europe de l’Ouest peut permettre de produire 6 à 7 millions.

Au-delà de ce tonnage il faut trouver d’autres approvisionnements en bois exempts d’écorces, ce qui pose certains problèmes largement exposés par GRINDESEL sur d’autres messages…

L’auteur tient-il compte des ‘possibilités complémentaires ? Je doute que ce soit réaliste sauf à consommer de gros volumes de billons …écorcés, ou écorçables !

Pour faire du fric toutes les solutions sont possibles…

NEWLETTER

- En France, on estime (en 2008) que le marché pourrait atteindre 40 000 chaudières par an en 2012 et 150 000 en 2020 soit un parc d’un million de chaudières installées en 2020.

Réponse de GRINDESEL

Ce schéma de croissance, en 2008, était basé sur une production de granulé favorisée grâce à la disponibilité d’un tonnage de sciure ‘disponible en masse dans les années à venir’ pour obtenir une qualité ‘domestique’ (norme NF).

Début 2012 tout indique que l’on s’achemine vers une pénurie de ce type de sciure donc de granulés ... sauf à transformer des bois ronds en sciures ce qui ne saurait tarder !

La prévision d’un million de chaudières en 2020 correspondrait, en gros, à …la moitié de la fabrication de granulés en Europe 2008, hors parc des poêles consommant les mêmes granulés, bénéficiant de ventes exponentielles … depuis 2010!

Depuis cette date et même depuis les années 1990 la production de sciure dite de sciages a plutôt tendance à baisser de par le monde pour de multiples raisons…entre autre grâce à une réduction des sections moyennes de sciage.  

NEWLETTER

A la même époque la question suivante pouvait être posée :
‘ Aujourd’hui les granulés sont fabriqués avec des sciures de sciage. Faudra-t-il demain, prélever des arbres pour assurer l’approvisionnement ?’

Tous les experts cités par les médias ou entrepreneurs vivant de cette filière déclaraient : ‘ La quantité de déchets de sciage ( !?) et de résidus forestiers ( !), représente une ressource en bois énergie gigantesque, un incroyable gisement de matière première, en très grande partie inutilisée dont on maîtrise parfaitement l’exploitation pour un chauffage domestique confortable et performant’.

En Juin 2008, lançant une revue spécialisée, l’un d’eux a renchéri en affirmant que ’le bois énergie pourrait alimenter (en France ?!) l’équivalent de 10 millions de chaudières à granulés de bois’. (L’équivalent de 40 millions de tonnes de sciure + la conso des poêles !!!)

Donc ‘pas de déséquilibre écologique, pas de déséquilibre économique, le développement du marché du granulé correspond à la création d’une nouvelle filière…Ce nouveau bois , que l’on découvre aujourd’hui, a toujours été là, en forêt ou en scierie.’

Réponse de GRINDESEL

Les ficelles sont tellement grosses qu’il m’est difficile d’espérer être crédible ! Pourquoi pas ? Les arbres monteraient certainement jusqu’au ciel …si on ne les coupaient pas.

NEWLETTER

‘ Cette mise au point est nécessaire pour éviter tout amalgame entre la ressource en bois de construction et la ressource en bois énergie’. (!)

Réponse de GRINDESEL

Le bois énergie, sinon l’essentiel des volumes d’avenir serait donc devenu ‘LE GRANULE’ !

Belle démonstration. Maintenant reste à en démontrer la validité.

Je me suis employé à en démontrer les limites d’en d’autres messages, sans réponse(s), que ce soit de la part des entreprises vivant de cette filière marchande ou des consommateurs.

A quoi bon répondre à une personne alors qu’elle vous annonce qu’elle fonce dans un mur ?

Prions le seigneur…

NEWLETTER

‘ Aujourd’hui (fin 2008), la sciure, demain les résidus de la sylviculture.
Aujourd’hui donc, la ressource utilisée pour la fabrication du granulé de bois, la sciure, est issue de la première transformation, celle qui fait les planches et les poutres et dans une moindre mesure, de la seconde transformation (la menuiserie).

La filière granulé de bois constitue de fait un nouveau débouché pour les scieurs qui valorisent mieux leur sciure.

Réponse de GRINDESEL

C’était en effet la situation en France fin 2008 …Depuis les scieurs vendent très bien leur sciure malgré la crise économique… Commencent à envisager d'investir eux même pour la valoriser en granulés et, s'il le faut, consommer directement des billons qu'ils transformeront en sciures ...plutôt que les scier...pour amortir leurs investissements dans le granulé! On ne sait jamais : Si un jour la construction flanche et oblige à faire chômer la scierie ...

NEWLETTER

…’Un débouché d’ailleurs loin d’être négligeable car 10% du volume de l’arbre est transformé en sciure au moment de la coupe. On comprend mieux pourquoi la sciure suffit encore à la production actuelle française de granulés’.

Réponse de GRINDESEL

Ce que j’ai toujours dit et m’a permis d’annoncer, dès 2005/2006: Les tonnages plafonds (en bonnes années économiques) pouvant être produits en France et en Europe, à partir de  sciures issues de la première transformation, permettaient de produire respectivement de l’ordre de 450/500 000 et plus ou moins 6 millions  de tonnes de granulés finis de qualité ‘domestique’.

RAPPEL : Il faut près de 2 tonnes de sciure verte pour produire 1 tonne de granulés.

Depuis 2010 un certain volume de sciure française est produit à partir de bois ronds…

En 2011 la consommation de granulés ‘domestique’ se serait située entre 400 et 420 000 tonnes … A chacun d’en tirer sa conclusion.

NEWLETTER

(Dans les années 2000, voyant arriver cette funeste échéance contredisant les premiers messages marketing vantant les granulés.)

‘Demain pourtant, avec le développement de la filière granulés, la sciure ne suffira plus à satisfaire la demande. Le broyage (sera) une nouvelle étape mécanique qui ne changera rien au très bon bilan économique et écologique du granulé de bois.’

Réponse de GRINDESEL

On y est donc…et cela a un coût quoiqu’en disent les vendeur de chaudières et poêles à granulés mais là n’est pas le vrai problème!

Le vrai problème est dans la ressource …

NEWLETTER

‘ Cette gigantesque ressource, dont une grande partie se décompose aujourd’hui (2008) en forêt en libérant son CO², sans produire d’énergie, pourrait ainsi être valorisée et bla bla bla  et bla bla bla  …

Ainsi, en aucun cas, la production de granulés ne risque pas de faire reculer la forêt française, actuellement en constant accroissement.

Réponse de GRINDESEL

Malgré l’affirmation ci-dessus, cette soit disant gigantesque ressource n’est pas ou très peu exploitable et transformable en sciure (hors écorce) pour produire du granulé !

Par contre une bonne partie peut l’être sous forme de plaquettes AVEC ECORCE.

Son coût économique et écologique est convenable et sera plus fiable dans le temps.

NEWLETTER

‘ La mise en place de la nouvelle filière industrielle du granulé de bois en France, destinée comme les autres énergies renouvelables à se substituer aux énergies fossiles polluantes comme le gaz ou le pétrole, et l’électricité non renouvelable ( ?) à partir du bois !?), repose donc sur une ressource écologique, pérenne, basée sur une économie locale et intégrée.’

Réponse et conclusions de GRINDESEL

Faux jusqu’à preuve ecrite soit clairement fournie que cette industrie soit capable :

1/ De produire le volume de sciure SANS ECORCE lui manquant désormais pour continuer à développer et alimenter la consommation saisonnière de granulés ‘domestique’ (norme NF qualité supérieure), en tonnage suffisant pour accompagner sans rupture la demande prévisionnelle importante, et fluctuante - suivant la rigueur des saisons - et l’augmentation continuelle et incontrôlée des ventes de poêles et chaudières dites à granulés  !

La sciure ? Une ressource écologique, pérenne, basée sur une économie locale et intégrée ?

OK mais …Avec plus d’incertitude en tonnage que pour les bûches et la plaquette ne demandant pas autant de contraintes tout au long de leur chaînes de livraison pour un coût calorie quasi deux fois inférieur par rapport au granulé !

2/ Qu’à défaut, cette industrie ne dénigre plus, sinon n’ignore plus, les deux autres filières bois énergie dont les ventes d’équipements et les ressources en combustibles sont nettement plus assurées, notamment à partir d’un produit fini brut, conseillé avec une grande intégrité et compétences professionnelles par GF SERVICES, spécialiste des trois combustibles BOIS ENERGIE bûches / plaquettes/ granulés et dérivés.

Que l’industrie du granulé reconnaisse donc loyalement ce qui suit:

- Le bois bûche propose de plus en plus une qualité normée et une siccité améliorée à un coût calorie sérieusement plus bas que le granulé, pouvant être socialement conseillé à certains consommateurs situés dans le même segment client granulés

- La plaquette, énergie moins élaborée que le granulé mais au bilan  économique et écologique plus avantageux que le granulé, sous réserve de certaines contraintes pouvant entraîner son abandon.

- Plaquette consommable dans des chaudières pouvant être AUSSI alimentées avec des GRANULES ce qui n’est pas possible avec une chaudière spécifique ‘granulé’…

- Chaudière pouvant être alimentée avec des granulés industriels moins coûteux…et plus faciles à produire !


3/ Reconnaisse clairement que les deux combustibles bois énergie cités ci-dessus sont d’autant plus compétitifs, s’ils sont comparés à pouvoir calorifique identiques obtenu sous réserve d’être tous les trois séchés et vendus au poids (ce qui est possible), sans incident de fonctionnement.

De plus ‘écorces comprises’ au contraire du granulé ‘domestique’ (norme NF qualité supérieure) lequel n’en souffre qu’un faible pourcentage imposant une opération très coûteuse d’écorçage des billons avant d'être transformés en sciures transformées en granulés .

NOTA : Opération d’écorçage, avant broyage industriel de billons qui permettront de satisfaire l’augmentation de la demande de granulés ‘domestique’ (norme NF qualité supérieure) via de très importants investissements.

Reste à prouver que l’écorçage des essences feuillus durs ne laissera pas un pourcentage trop élevé d'écorces pour garantir la norme NF qualité supérieure et conserver la rentabilité de production...   

Pour débat objectif et documenté. Hors parti pris …

GRINDESEL le 23 Avril 2012 Dossier validé le 26 01 2015
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